Origine :

En 1993, l’écrivain espagnol, Arturo Pérez-Reverte, sort un roman policier nommé ‘’Club Dumas’’, dont l’histoire raconte celle de Lucas Corso, un expert et chercheur de livres rares.

2 de ses clients lui donnent une mission différente, la première est de prouver l'authenticité d’un manuscrit d’Alexandre Dumas sur ‘’Les trois mousquetaires’’ et la seconde est de vérifier que le livre sur ‘’Les neuf portes du royaume des sombres’’ est le seul qui a été imprimé par Aristide Torchia.

Pendant ses 2 missions, des évènements étranges et dramatiques vont se produire, ce qui forcera à Lucas Corso de faire un lien avec le manuscrit et le livre.

Après l’échec commercial de ‘’La Jeune Fille et la Mort’’, Roman Polanski est charmé par le roman d’Arturo Pérez-Reverte et il veut en faire une adaptation au cinéma.

Voulant en faire une œuvre cinématographie, Roman Polanski a décidé de faire des modifications, il a enlevé la mission sur le manuscrit d’Alexandre Dumas, il a fusionné le personnage de Varo Borja avec le personnage de Boris Balkan et il a modifié 3 des 9 gravures du roman, la N°3, 8 et 9.

Son adaptation sort en salle en 1999, sous le nom ‘’La neuvième porte’’ et malgré un succès commercial, le film est un échec critique et Roman Polanski sera dégoûté de cet échec.

Critique :

La littérature, ensemble des œuvres écrites auxquelles on reconnaît une finalité esthétique, classé comme le 5ème art et un art exprimant un idéal de beauté.

Et depuis des millénaires, les hommes ont écrit des livres pour divertir et enrichir l’esprit du lecteur.

Pourtant, les livres demandent un certain entretien pour qu’ils soient conservés avec le temps.

Un entretien qui protège les livres contre le temps, mais aussi contre tout ce qui peut nuire comme le climat, l’eau, la poussière, la lumière du soleil, le feu, les rongeurs et la bêtise ou la folie des hommes.

Dans le roman d’Arturo Pérez-Reverte ou dans le film de Roman Polanski, les deux auteurs ne se contentent pas de raconter seulement un thriller fantastique pour créer un suspense passionnant, mais pour nous parler dans un premier temps, de littérature.

Les livres continuent de passionner les gens, parce que les auteurs ont su développer leurs idées avec leur plume remarquable, ce qui peut amener à des collectionneurs à accumuler les premières éditions d’un écrivain.

Avec la mise-en-scène de Roman Polanski, le film réussi à montrer de l’importance sur des livres rares d’une autre époque.

On pourrait penser qu’un livre rare égal beaucoup d’argent, mais l’argent ne permet pas toujours d’acheter ou de vendre ce genre d’ouvrage et ça peu importe qu’on soit un expert ou un collectionneur de livres.

Avec le personnage interprété par Johnny Depp, il y voit cet homme comme un professionnel qui connait bien son métier, malgré son look un peu vieillot et quand il tombe sur un vendeur ou un acheteur naïf, il utilise ses ruses de renard, ce qui peut lui poser des problèmes.

Du côté du personnage interprété par Frank Langella, c’est un collectionneur charismatique, bien habillé et qui a une connaissance dans le domaine de la littérature, malgré son côté mystérieux et sournois, ce qui donne une opposition au personnage principal.

En dépit que le réalisateur donne une profondeur et un côté humain à tous ses personnages, on a l’impression qu’ils sont tous asociaux et que leur monde est concentré seulement dans le domaine du livre.

Roman Polanski nous fait entrer dans un monde où les livres et en particulier les plus anciens et les plus rares ont une influence sur les lecteurs et les collectionneurs.

Il nous montre que des vieux livres demandent beaucoup d’attention et de patience à être examiné sur la qualité de son papier, de son encre et de son apparence dans le but de prouver son authenticité et sa valeur commerciale.

Et tout ça avec une mise-en-scène assez classique, mais efficace, avec une lumière qui donne une beauté, une bonne performance des comédiens et des dialogues à la fois enrichissants, marquants et convaincants.

Jusque-là, on pourrait penser que Roman Polanski s’est contenté de faire une retranscription sur l’enquête et en particulier sur la valeur des livres anciens qu’Arturo Pérez-Reverte a écrit dans son roman, mais le metteur-en-scène n’a pas été fidèle au roman et a profité de développer un élément pour donner une dimension à son film, le diable.

Le diable est le sujet important qui donne la force au film et aux personnages dont Roman Polanski avait déjà traité en 1968 avec son ‘’Rosemary’s baby’’, mais cette fois-ci, il le fait avec un certain humour.

Les personnages créent des variétés sur le traitement du diable, ils croient en lui, ils font des pratiques religieuses, ils éditent des livres sur lui et même des exposés.

Le diable est plus important que Dieu dans ce film et son influence a une bonne réputation, ce qui peut conduire à des personnages au meurtre, au fanatisme ou à une évolution inattendue.

On peut y voir un diable dans chaque personnages et particulier ceux qui représentent les 7 péchés capitaux.

1) Boris Balkan a comme péché, l’envie, ce qui va le pousser au meurtre et la représentation de son diable est Léviathan.

2) Liana Telfer a comme péché, l’orgueil, ce qui la pousse à manipuler son mari et sa secte et la représentation de son diable est Lucifer.

3) La Barronne Kessler a comme péché, la colère, sa rancune envers Boris Balkan la conduit vers une mort tragique et sa rencontre avec le diable ne lui a pas porté chance et la représentation de son diable est Satan.

4) Victor Fargas a comme péché, l’avarice, ce genre de péché conduit à des dettes et des pertes et aussi bien dans le roman et que dans le film, ce personnage a des dettes et la vente de son livre aurait pu lui sauver, mais son refus lui a coûté la vie et la représentation de son diable est Mammon.

5) La fille aux yeux verts interprété par Emmanuelle Seigner a comme péché, la luxure, est-elle un ange déchu ou une femme d’une autre époque qui a réussi à ouvrir la neuvième porte ? Malgré sa force, elle peut être blessée et son vrai but dans l’histoire, c’est d’avoir du plaisir sexuel avec Dean Corso et la représentation de son diable est Asmodée.

Petite info gratuite, dans le roman, elle s’appelle Irène Adler.

6) Le garde du corps de Liana Telfer a comme péché, la paresse, c’est un personnage qui dégage ni profondeur de sa personnalité, ni évolution de son parcours, ses méthodes pour récupérer le livre sont perdues d’avance, c’est Liana Telfer qui réussira à reprendre le livre et le plan où on le voit pour la première fois, il se relaxe au soleil en fumant un cigare et la représentation de son diable est Belphégor.

7) Et Dean Corso a comme péché, la gourmandise, ce genre de péché conduit à la dépendance et à des problèmes de santé, certes, on ne le voit pas beaucoup manger, mais il fume et boit beaucoup et le tabac et l’alcool le conduisent vers une dépendance et à des problèmes de santé et la représentation de son diable est Belzébuth.

Coïncidence ou analyse élémentaire ?

En tout cas, Roman Polanski s’amuse à traiter le diable avec sa mise-en-scène mystérieuse, ce qui laisse au cinéphile interpréter des éléments du film à sa façon.

Si vous avez lu le roman d’Arturo Pérez-Reverte, il y a des variantes dans les gravures, N°1 : Il y a 3 tours et l’autre, il y a 4 tours ; N°2 : Les clés à la main droite et l’autre, les clés à la main gauche ; N°3 : Une flèche dans le carquois et l’autre, un carquois vide ; N°4 : Une issue murée, l’autre, une issue non-murée ; N°5 : Le sable en haut de l’ampoule du sablier, l’autre, le sable en bat de l’ampoule du sablier ; N°6 : L’homme pendu à la jambe gauche, l’autre, l’homme pendu à la jambe droite ; N°7 : Un échiquier blanc, l’autre, un échiquier noir ; N°8 : Le chevalier a une auréole, l’autre, il n’en a pas ; et N°9 : Pas de variété.

Dans le film, les gravures sont présentes, mais le réalisateur en a modifié 3 et l’ensemble des 9 donnent un sens au long-métrage, selon l’interprétation des avis que j’ai trouvés sur Internet.

-1ère gravure : ‘’Le silence est d’or’’ : Quand Corso rencontre pour la première fois Liana Telfer, il ne lui dit pas à qui appartient l’exemplaire des Neuf portes du royaume des ombres qu’il a.

-2ème gravure : ‘’Ouvre ce qui est fermé’’ : Corso étudie les gravures pour percer leur secret. Il faut remarquer que le personnage de la gravure a une étrange ressemblance avec Fardas, homme qui va lui permettre pour la première fois de constater la différence qui existe entre les gravures en lui fournissant le deuxième livre pour la comparaison des exemplaires. Il devra également forcer sa voie vers le troisième exemplaire.

-3ème gravure : ‘’Gardez le secret malgré les menaces’’ : Corso échappe de justesse à la mort qui provient du ciel (l’échafaudage qui tombe). Or, dans la gravure, le danger provient également du ciel. Il faut d’ailleurs remarquer que l’homme à l’arc qui menace le passant est le portrait craché des jumeaux de la librairie… De plus, Corso parvient à garder son secret, son livre, malgré les attaques de l’homme de main de Liana Telfer, ainsi que celle de Liana elle-même (qui l’assomme avec une bouteille, autre danger venu du haut).

-4ème gravure : ‘’La chance n’est pas égale pour tous’’ : C’est le cas pour Fardas qui est tué pour son livre, tandis que Corso, lui, semble échapper à toutes les menaces.

-5ème gravure : ‘’En vain’’ : Corso tombe de piège en piège mais persévère même s’il semble ne pas réussir à obtenir ce qu’il recherche.

-6ème gravure : ‘’Et ne craindre ni la corde, ni le feu’’ : la baronne Kessler sera tuée par la corde (étranglée) et se décomposera dans le feu. La gravure rappelle aussi la mort du libraire qui a été retrouvé dans la même position que le pendu qu’elle représente.

-7ème gravure : ‘’Le disciple dépasse le maître’’ : Corso tabasse un homme et la jeune fille (le diable) est étonnée de voir ce qu’il a en lui, comprenant qu’il possède la bestialité nécessaire à la réussite.

-8ème gravure : ‘’La vertus gît vaincue’’ : Corso a abandonné sa ‘’candeur’’ pour suivre le chemin des ténèbres. Symboliquement, c’est Balkan qui lui a arraché sa vertu en l’achetant et en le menant sur le chemin du diable. Or, sur la gravure, on voit un homme en armure sur le point d’exécuter un moine. L’homme en armure a la tête de Balkan et le moine a la tête de Corso.

-9ème gravure : ‘’Je sais maintenant que des ténèbres sort la Lumière’’ : Corso entre par une porte lumineuse dans le royaume des ombres. Il y a accédé grâce à la fille qui lui a indiqué la voie. Or, dans la gravure, la femme qui montre l’entrée du château a le même visage que cette fille. Pour aller plus loin, surtout dans le scabreux, nous avons ici cette fille qui chevauche une bête à sept têtes qui, selon certains, serait le symbole de l’homme refusant le Christ. Or, Corso est l’incroyant qui se tournera par curiosité vers le diable. Et, plus prosaïquement, il sera chevauché également par la femme de la gravure.

-Sa conclusion sur les gravures : C’est le passage initiatique des gravures qui permet d’accéder au royaume des ombres comme le fait Corso, et non la simple possession de ces gravures. C’est pourquoi le livre est si important, il indique la voie à suivre. De plus, le fait que le livre, écrit il y a plusieurs siècles, renferme des images de personnages croisant la route de Corso est un signe de l’élection de celui-ci par le diable, de prédestination en quelque sorte.

Et pour conclure ma propre critique, je terminerai avec le titre du film et les références que Roman Polanski a fait sur ‘’Les trois mousquetaires’’.

Malgré que Roman Polanski ne présente pas la partie sur le manuscrit d’Alexandre Dumas, il se permet de faire des références dans sa mise-en-scène.

Avant qu’Andrew Telfer se pende, on peut remarquer qu’il porte une moustache et des vêtements rouges, ce qui fait penser au cardinal de Richelieu.

Ainsi que le tatouage sur la cuisse de Liana Telfer, il présente le tatouage de Milady de Winter et la secte du film représente le club Dumas.

Et enfin, pourquoi le film s’appelle ‘’La neuvième porte’’ ?

Selon mes recherches, j’ai trouvé une réponse à cette question et elle explique la fin du film où Dean Corso entre dans la neuvième porte.

Le chiffre 9 indique qu’on est maintenant prêt à réaliser notre objectif dans la vie, c’est le bon moment pour passer à l’action, pour agir, même si on ne va faire au début que des petits pas. Ce nombre symbolise la force intérieure, la destinée, la responsabilité, l’intuition, la force de caractère, la résolution des soucis, les idéaux élevés et la liberté. Ces qualités apportées par nos anges gardiens sont essentielles afin qu’on parvienne à atteindre notre objectif.

Nos anges gardiens nous disent qu’il est maintenant temps de tracer notre chemin, celui qui nous implique à être au service de l’humanité. Pour cela, on utilise nos aptitudes et nos talents. On est un travailleur de la lumière, et nos anges nous incitent à servir nos semblables de façon positive. Ils nous encouragent à faire preuve d’humanité, de générosité et de réflexion. Gardons en tête qu’on est à présent l’exemple à suivre.

Le chiffre 9 indique que c’est aussi le moment de finir une étape de notre vie, une étape qui ne nous apporte pas des choses positives, il peut s’agir d’une relation ou d’une situation. Cependant, n’ayons crainte, car de bonnes choses feront leur apparition dans notre vie, cela ne nous apportera que du bien. Alors, les anges nous demandent de nous préparer à accueillir convenablement tout ce qui arrivera à l’avenir.

Le chiffre angélique 9, c’est la foi, l’amour universel, le karma, la sagesse divine, les lois spirituelles universelles, l’éveil et l’illumination spirituelle. Mais ce nombre apporte aussi en nous l’empathie, l’indulgence, la bonté, l’humilité, la sympathie, l’altruisme, la tolérance, la clémence, la discrétion et une grande sagesse intérieure.

Le chiffre 9 appelle au sacrifice de soi, à la destinée, à l’amour-propre, à l’indépendance, à l’attraction, à la communication, à l’aboutissement, à de larges points de vue, au devoir, à la non-conformité, à un esprit artistique et l’excentricité. N’hésitons pas à les développer et à les exploiter à bon escient pour une vie meilleure.

Verdict :

Vue la manière dont il a réalisé son propre film, on peut interpréter l’adaptation de Roman Polanski comme bon nous semble.

Pour moi, le metteur-en-scène traite de 2 éléments différents, la littérature et le diable et tout ça pour les combiner et en faire une réflexion sur notre manière de lire des livres écrits par des auteurs qui reflètent le diable.

Certaines personnes à l’esprit naïf diront qu’il n’y a rien de mal à lire un livre écrit par le mal, mais ils se trompent et le film nous le fait savoir avec la phrase culte de Victor Fargas.

Certains livres sont dangereux, à ne pas ouvrir impunément.

On peut interpréter cette phrase à deux façons différentes et peu importe le contexte de l’époque.

La première fait référence au contexte géopolitique, des politiciens et des minorités ont uni leur force pour interdire des livres qui ne sont pas face avec leur idéologie politique et punir sévèrement les lecteurs qui ont osé lire des livres interdits.

On peut trouver cette situation dans la fiction avec le roman de Ray Bradbury, ‘’Fahrenheit 451’’, mais la réalité est plus cruelle que la fiction, parce que ça a déjà existé.

L’inquisition et le national-socialisme ont pratiqué ces méthodes dans le passé et de nos jours, on peut encore trouver cette politique dans des partis ou mouvements politique comme La France Insoumise (extrême gauche) ou la Black Lives Matter (extrême droite).

Et la seconde fait référence à la folie des hommes, une maladie qui trouble l’esprit d’une personne et qui peut créer des incidences sur autrui.

Le cas de Boris Balkan est l’exemple le plus évident du film, il croit au diable et collection les œuvres qui traitent sur lui.

Malgré sa culture et ses connaissances sur le diable, il n’a pas su lire ses livres avec une distance et une réflexion, ce qui l’a poussé à mal agir et à perdre la raison.

Un monstre s’est réveillé en lui et pourtant, il n’en a pas l’apparence et on y trouve le cas de Liana Telfer, même si ses méthodes sont différentes.

Son nom de jeune fille et ses origines ne lui empêche pas de croire au diable et d’y créer une secte pour le faire apparaitre.

Sa croyance ou son marque de connaissance ne l’a pas rendue aussi habile que Boris Balkan et sa beauté pour séduire les hommes l’a rendue orgueilleuse et naïve.

Ces 2 personnages ont lu le livre du diable, mais d’une méthode différente, ce qui les a quand même conduit à une mort tragique, d’un côté, Liana ne l’a pas assez analysé et part dans une mauvaise direction et de l’autre, Boris l’a trop analysé et qui est parti dans une autre mauvaise direction.

Tout ça pour dire que les livres écrits par une personne reconnu comme un diable, peuvent nuire l’esprit d’un lecteur et si on ne prend pas le temps de les lire avec prudence et raisonnement, alors l’esprit plonge dans un puits sans fond et le corps est soumis par la folie ou la bêtise.

Remerciements :

Je tiens personnellement à remercier Arturo Pérez-Reverte pour avoir écrit son roman, à l’équipe du film d’avoir donner une bonne qualité sur cette adaptation, à ma famille qui m’a fait découvrir ce film en salle et à la personne qui a analysé les 9 gravures et de combler un peu plus ma critique sur ce film.

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le 28 juin 2022

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