L'affiche qui vend du rêve.

Comme je suis fidèle à moi-même, et que j'avais dit dans ma critique de Emmanuelle et Françoise que la découverte du cinéma de Joe d'Amato ne passerait pas par moi ... j'ai regardé un film antérieur, mais pas meilleur, à sa voir La mort a souri à l'assassin.
A savoir, au début du XXe siècle, la résurrection d'une jeune femme supposée être morte dans un accident de calèche, profitant de semer le trouble dans une famille.

Crédité au générique comme étant Aristide Massacesi, j'y retrouve un peu les mêmes défauts que précédemment, à savoir une mollesse dans la mise en scène, et des acteurs et actrices amorphes. Seul Klaus Kinski s'en tire plutôt bien, malgré qu'il ne reste pas très longtemps. Il y a parfois quelques scènes réussies, à base surnaturel, et d'inserts où on voit Ewa Aulin dans un état cadavérique avancé, mais tout cela manque pour moi d'âme, et d'intérêt.

Je ne dirais pas qu'il me reste 198 films à voir, mais si c'est comme ça à chaque fois...