Au Temps des Dinos, Autre Chose que Jurassic Park
Si vous pensiez que ressusciter des films d'horreur était aussi hasardeux que de mixer un T-Rex avec un caniche, détrompez-vous. "La Malédiction: L'Origine" débarque comme un Luke Skywalker en pleine crise d’ado, sabre laser en main, prêt à remettre de l’ordre dans la galaxie des reboots. Arkasha Stevenson, aux commandes de cette arche nostalgique, navigue entre les icebergs cinématographiques avec plus de grâce qu'un Titanic en pleine lune de miel.
Le Bal des Vampires N'a Qu'à Bien Se Tenir
Margaret, notre novice en mode Buffy contre les vampires, mais sans le sarcasme ni les vampires, arrive en Italie armée d’une foi qui va fondre plus vite qu’une glace au soleil d’août. Entre des enfants qui semblent sortis tout droit d’un casting pour le Village des Damnés et des religieuses qui auraient bien besoin d’un exorciste, notre héroïne va vivre des messes noires plus animées qu'un Black Friday chez les sorcières de Salem.
Quand le Gore Rencontre le Core
"La Malédiction: L'Origine" ne lésine pas sur les jumpscares, mais avec classe, comme si Ridley Scott dirigeait une partie de cache-cache. Chaque apparition est un coup de théâtre, une standing ovation méritée, comme quand Gandalf débarque à Helm's Deep. Et Margaret? Elle se perd dans ce labyrinthe de folie mieux que le Minotaure ne trouverait la sortie de son propre dédale.
Ceci n'Est Pas Une Répétition
Oubliez les trames prévisibles; ici, même les rebondissements attendus sont servis avec une telle maestria qu'on en redemande, comme un dernier épisode de "Game of Thrones", mais en bien. On sait que quelque part ça va mal finir pour quelqu'un, mais le suspense reste aussi croustillant qu'une pizza sortie du four de chez Mario.
Psychose n'Est Pas Juste un Film d'Hitchcock
Le vrai jeu ici, c’est de voir jusqu’où Margaret peut plonger dans cette marmite bouillonnante de démence sans se transformer en H.P. Lovecraft en plein trip sous acide. La mise en scène d'Arkasha Stevenson est un tour de magie, un coup de chapeau à la vieille école, sans pour autant sentir la naphtaline.
Un Cri dans la Nuit
En bref, "La Malédiction: L'Origine" n’est pas juste un film d'horreur, c'est une catharsis en IMAX, une montagne russe qui aurait été conçue par Stephen King en personne. On pensait connaître la recette, mais Stevenson ajoute tellement de piment que même les plus blasés des cinéphiles pourraient sentir leur cœur faire un triple salto. Et si vous en sortez indemne, c'est que vous avez raté une séance. Allez, rembobinez, c’est encore mieux la deuxième fois!
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