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Nanar? Peut-être, et alors!
C'est certain, tout cela est d'un kitsch assez indescriptible et les défauts ne sont pas minces. Mais l'on s'arrêtera principalement sur un, tant il gâche le plaisir : ces sortes de scène...
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le 11 mars 2018
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La Maison ensorcelée par Fatpooper
film un peu z avec un christopher lee assez figé et inexpressif. les dialogues ridicules s'enchaînent, parfois pour notre bon plaisir moqueur, parfois pour un mortel ennui. plusieurs incohérences perturbent le récit, la bêtise des personnages quand il s 'agit de résoudre l'"énigme (accompagné de surcroit par un suspens foireux c'est-à-dire le curé qui montre 36 livres différents avant d'enfin se souvenir duquel possède les noms accusateurs...).la mise en scène, quant à elle est assez paresseuse, parfois incompréhensible (la scène des voitures lors de l'arrivée du héros par exemple).
ma scène préférée restera la dernière séquence, dans laquelle on retrouve boris karloff qui explique tout pour les spectateurs qui n'auraient pas compris, et où le silence et l'absence d'émotion des héros, après avoir failli se faire tuer, prêtent au rire le plus gras et qui enfin se termine sur un plan des plus ambigus: christopher lee se transofrmant en barbara steele au milieu des flammes.
à ne voir que si on n'a vraiment rien d'autre à se mettre sous la dent.
ma scène préférée restera la dernière séquence, dans laquelle on retrouve boris karloff qui explique tout pour les spectateurs qui n'auraient pas compris, et où le silence et l'absence d'émotion des héros, après avoir failli se faire tuer, prêtent au rire le plus gras et qui enfin se termine sur un plan des plus ambigus: christopher lee se transofrmant en barbara steele au milieu des flammes.
à ne voir que si on n'a vraiment rien d'autre à se mettre sous la dent.
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le 17 juil. 2011
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