Dancing in the Dark !!!

Le phénomène cinématographique de ce début de l'an de grâce 2017 par le jeune prodige qui avait déjà tout pulvérisé avec Whiplash, avec un couple de stars qui niveau alchimie, glamour et charisme n'a absolument plus rien à prouver (je te hais, Ryan, je te hais, Mâle Alpha onze sur dix sur l'échelle de l'alphatitude ; oui, je suis jaloux à en crever !!!), qui rend hommage à la comédie musicale des années 50 (avec un chouia d'années 30, 40, 60 et 70 aussi !!!), avec des tas de références cinéphiles et de jolies robes bien colorées qui sont aussi des références.

Bon, c'est pas tout ça d'étaler sa culture et sa jalousie... En toute franchise, j'ai aimé mais sans plus... Il y a de très bonnes choses. Bon, déjà Ryan et Emma... La séquence d'ouverture, qui n'est pas sans faire penser à celle tournée en plein New York dans West Side Story, avec les automobilistes en pleine embouteillage, très bon... Les scènes réalistes où le personnage d'Emma Stone cumule les déceptions en enchaînant les castings sont touchantes tout comme celles où celui de Ryan Gosling est obligé de sacrifier l'art en lequel il croit pour du commercial car il faut bien payer les factures ; pour moi c'est le meilleur du film, le plus fort...

Et j'aurais préféré plus de cela, et moins de références à la comédie d'autan, moins de coloré, trop de références et de coloré tuent la référence et le coloré. J'aurais aussi bien voulu moins de longueurs dans le milieu, et puis aussi des personnages secondaires consistants, le film est incroyablement hyper-centré sur le couple vedette, bon d'accord ils sont hyper-beaux, tout ça, tout ça, mais un peu chair par le biais des personnages secondaires n'aurait pas été de trop.

Bref, je me répète, j'ai bien aimé mais j'ai pas été emballé aussi pleinement que la grande majorité des critiques et des spectateurs...

P.S : Pas taper...