7
La carte Blanche
Des choses gentilles à dire sur ce film : La Grande Java, c’est tout un paradoxe. On sent à la fois la fougue de la jeunesse des Charlots mis en vedette à l’écran pour la première fois, dans le rôle,...
le 5 févr. 2024
1 j'aime
Les 5 doigts de la main
La grande Java n'est pas un très bon film, mais plutôt une série Z, un nanar.
La grande Java, c'est un film de potes! D'ailleurs, l'idéal est de le regarder entre potes. En solo c'est bon aussi bien sûr!
Ce qui est admirable avec ce film, c'est que c'est fait avec tellement de naïveté et de bonne humeur que les défauts les plus probants ne dérangent jamais. On rit du début à la fin des mésaventure du petit groupe, l'histoire n'étant qu'un prétexte pour des gags et de l'amusement.
Une comédie, donc, qui se regarde sans déplaisir, idéale pour vous arracher à vos idées noires.
PS : n'oublions pas la ravissante Corinne Le Poulain
La grande Java, c'est un film de potes! D'ailleurs, l'idéal est de le regarder entre potes. En solo c'est bon aussi bien sûr!
Ce qui est admirable avec ce film, c'est que c'est fait avec tellement de naïveté et de bonne humeur que les défauts les plus probants ne dérangent jamais. On rit du début à la fin des mésaventure du petit groupe, l'histoire n'étant qu'un prétexte pour des gags et de l'amusement.
Une comédie, donc, qui se regarde sans déplaisir, idéale pour vous arracher à vos idées noires.
PS : n'oublions pas la ravissante Corinne Le Poulain
6
Écrit par
Créée
le 8 janv. 2013
Critique lue 531 fois
D'autres avis sur La Grande Java
2
Tarte à la crème
Si La Grande Java marque les débuts des Charlots au cinéma, on ne peut pas dire qu’il s’agisse là de leur aventure la plus réussie : tout est expédié, pris d’un empressement dommageable qui empêche...
le 5 avr. 2021
1 j'aime
1
pas assez excessif
Début des années 70, l'humour graveleux devient à la mode ! Premier film de l'immense Philippe Clair que j'ai le privilège de visionner (son deuxième après "Déclic et des Claques" (1965), qui fut un...
Par
le 22 août 2020
1 j'aime
1
Du même critique
5
Django in White Hell
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
10
Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
116 j'aime
45
5
Critique de Taxi Driver par Fatpooper
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
103 j'aime
55
