J'y vais j'y vais pas
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Ce n'est pas si souvent que la bisexualité masculine est portée au cinéma et surtout avec cette liberté de ton. Il fallait oser. Le film se pose la question de l'absurdité de la vie (ou plutôt des choix que la vie nous impose). Et dans ce film tout le monde paraît paumé (parfois jusqu'à l'absurde). Le propos propre à énerver les coincés de la braguette est franc mais la réalisation parfois décousue et brouillonne. Coté interprètes, Pascal Greggory, nominé aux Césars pour son rôle m'a paru inégal. En revanche Julie Gayet crève l'écran. A remarquer Alain Bashung dans un sympathique rôle secondaire.
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Créée
le 2 janv. 2019
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