A travers le regard de Tato flanqué de ses deux meilleurs amis que sont Pitu et La Crespa, La ciudad de las fieras raconte une « Histoire de ma famille », mention portée en fin de métrage sur un écusson composé de fleurs. La famille en question est celle de Tato. Une famille dont il ne reste plus grand-chose puisque le film démarre sur l’enterrement de la mère de Tato faisant de celui-ci un orphelin de 17 ans. Lire la critique complète.

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le 4 avr. 2021

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