6
Dancing on my own
C’est une boîte de nuit sans nom, c’est comme ça, elle n’a pas de nom, mais une boîte qui, au fil des modes, des énergies, des évolutions musicales (du disco à la house) et des convulsions...
Par
le 18 août 2023
6 j'aime
Patric Chiha nous envoute, 25 ans durant. Dans ce huis clos dansant, la suavité de May répond à la langueur de John et l’on adhère à leur attente, entre secret et croyance.
8
Écrit par
Créée
le 24 août 2023
Critique lue 28 fois
D'autres avis sur La Bête dans la jungle
6
Les passagers de la nuit
Un gars, une fille, dans une salle d'attente, ou plus exactement une boîte de nuit, sur une durée de 25 ans, des passagers de la nuit qui se retrouvent à intervalles plus ou moins réguliers. Elle...
le 21 août 2023
2 j'aime
5
La bestialité du temps perdu
Nominé pour la compétition longs-métrages du festival de Cabourg 2023, La Bête dans la Jungle (2023) est une œuvre aux résonances littéraires psychothérapeutiques, réalisé par Patric Chiha. Ce...
Par
le 16 juil. 2023
2 j'aime
Du même critique
7
Monk et la mascarade
Comme un circassien qui tenterait de faire sauter un lion au travers de cerceaux enflammés, le journaliste est tout à l’enregistrement de son émission et semble négliger les sensations du jazzman. Ce...
Par
le 22 janv. 2023
6
Écrire sale
Cru et incisif, Jérôme Bertin nous embarque dans un réalisme "sale". Alternant textes en prose et poèmes en vers courts, ces derniers s'apprécient comme des intermèdes, des reprises de souffle. Sexe,...
Par
le 15 avr. 2020
