Nos trois pieds nickelés (Pierre Mondy, Jean Lefebvre et Henri Guybet) se retrouve embringué dans la Résistance sans l’avoir cherché le moins du monde.
Sur le gimmick récurrent des films précédents, où les comparses se retrouvent au mauvais endroit au bon moment, ils deviennent une nouvelle fois des héros involontaires.
Ce volet n’est pas directement rattaché aux précédents car nos bidasses sont démobilisés et ont retrouvé une vie civile qui ne sera pas plus de tout repos que leur vie militaire. Les gags sont encore au rendez-vous mais semblent plus téléphonés, même si on se marre encore a retrouvé les ganaches sympathiques de ces zéros absolus qui s’embarquent dans des aventures trop grandes pour eux.