Dans l’école buissonnière Nicolas Vanier laisse les paysages neigeux et glaciales de Sibérie, de Russie et du Canada de côtés pour nous offrir de nouvelles images d'un nature sauvage dans un petit coin de France qu'il aime tant et dont il à passé sa jeunesse : La Sologne
Dans cet fabuleuse histoire on suit le parcours difficile à Paris de Paul (Jean Scandel) orphelin dans les années 30 dont il sera confié à Célestine (Valerie Karsenti) et son mari Borel (Eric Elmosnino) en Sologne. La-bas il découvrira une nouvelle vie et pourra s'ouvrir à un monde fait de sérénité, de bonheur et de liberté, tout ce dont il rêver.
De très beaux paysages, de très belles images immortalisées de cette faune et de cette flore en perpétuel mouvement. Le réalisateur change de style et nous offres une oeuvre fraîche, libérant ainsi l'esprit avec un côté rétro, d’antan des années 30 dont Vanier à souhaiter faire revivre une part d’émotion et de nostalgie un peu délaissé de nos jours.
Le casting est de taille : François Cluzet, Valerie Karsenti, Eric Elmosnino, François Berléand sans oublier l'acteur principal le petit Paul : Jean Scandel qui sont efficaces et talentueux. Remarquable prestation de la part de François Cluzet en braconnier, vieux loup de la forêt que j'ai beaucoup aimé.
Une oeuvre soignée auquel on ne s'ennuie guère une seule seconde avec un flot de dialogues irrésistibles ainsi que des costumes d'époques somptueux
Jolie conte poétique, humoristique et nostalgique dont le réalisateur offre de belles images d'une nature sauvage et précieuse. Il montre l'importance de préserver nos forêts et met en relation l'homme et la nature dans une magnifique région de France. C'est divertissant et léger