Carpenter + Lovecraft + Sam Neill + années 90s = In the Mouth of Madness
Un bon ptit Carpenter à l'ancienne avec Sam Neill, très juste dans son personnage je trouve. On retrouve un peu tous les clichés du fantastique/horreur (tentacules, failles spatio/temporelles, démons, églises maudites, enfants fantômes etc) mais bon quand c'est Carpenter aux commandes ça passe toujours mieux surtout vu qu'il date de 1994.
Fin très intéressante (que j'ai pas forcément comprise d'ailleurs), scénario plutôt intelligent. A voir pour les amateurs du genre, les autres peuvent s'en passer.