La difficile liaison d'un architecte d'origine africaine et de sa secrétaire d'origine italienne empoisonnée par les préjugés racistes de leur entourage...
Match des critiques les meilleurs avis Jungle Fever
VS
Fascination-répulsion
À la charnière des années 1980-1990, Spike Lee connaît une période faste. En l’espace de quatre ans, il réalise Do the Right Thing, Mo’ Better Blues, Jungle Fever et Malcolm X. Chaque film possède des qualités artistiques évidentes… et amène son lot de polémiques. Celui qui nous intéresse aujourd’hui, Jungle Fever, n’en est pas exempt : certains critiques accusent le réalisateur afro-américain de misogynie. En plus de se perdre en conjectures, ceux-là passent évidemment à côté de l’essentiel....
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4
Jongler avec la fièvre
Grand questionnement inter-racial de Spike. Mais il y a quelques couches en trop et finalement rien, mais rien de rien ne semble naturel. De plus, il y a là un gros casting qui a dû passer du bon temps mais qui surjoue considérablement. Anthony Quinn livre une prestation théâtrale aux grands gestes pompiers à s'emporter dans sa cuisine ce qui ne relève plus que du sketch. De même pour Samuel L Jackson qui ne lâche pas sa caricature, Robbins & Dourif sans aucune profondeur... Ce sont...
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2
Critiques : avis d'internautes (13)
Jungle Fever
Tri :
recommandées
positives
négatives
plus récentes
Critique de Jungle Fever par dadujones
Moi, pour le moment, j'avais jamais vu Wesley Snipes dans un vrai film. Même pas de Spike Lee. Bon, ça passe. Pô mal. Il se débrouille, le gars.
Mais dans Jungle Fever, vraiment, y'a bien que Samuel Jackson qui joue sa race. Le reste du casting, c'était sympa mais bon, je sais pas, ça tient aussi peut-être à la manière de voir les choses de Spike Lee, mais c'était quand même du convenu convenu....
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Tragédie de Brooklyn
On le sait, Spike Lee est obnubilé par son district, Brooklyn et son melting-pot racial. Après une comédie dramatique, Do The Right Thing, il s’attaquait à sa première vraie tragédie : Jungle Fever.
Le style Spike Lee est désormais bien connu après 5 films : on tourne à Brooklyn, on parle de la lutte des races sous fond d’adultère et/ou de sexe libéré, un des personnages aura un nom...
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La fièvre de la jungle
15 ans plus tard, "Jungle Fever" n'a pas très bien vieilli, et les expérimentations formelles continuelles de la mise en scène de Spike Lee paraissent aujourd'hui bien redondantes par rapport à un sujet fort qui n'en demandait pas tant (on déplorera particulièrement la manière dont la musique est utilisée, de manière certes non conventionnelle, mais assez fatigante)....
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Critique de Jungle Fever par Maqroll
Une fois de plus, Spike Lee me déçoit… Après une très bonne entame où les personnages et les situations sont habilement posés, le film dérape tout à coup dans un verbiage sans intérêt et devient une thèse – une de plus – sur le racisme. Tout le monde en prend pour son grade, Blancs et Noirs étant renvoyés sur un pied d’égalité en ce domaine dans un salmigondis de poncifs aussi éculés que vains....
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Critique de Jungle Fever par léonie bitch
Spike Lee toujours au top. Films pleins de joie mais qui traite de vraies problèmes. Spike Lee est new yorkais et son amour pour sa ville se fait toujours ressentir dans ses films. Film finalement assez pessimiste: ils retournent tous les deux dans leurs communautés, n'ayant pas pu supporter l'agression constante qui est de sortir avec quelqu'un qui n'a pas la même couleur de peau que toi, en...
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