Plaisir non coupable !
Pour ma centième critique, j'ai décidé de m'attaquer à un film qui occupe toujours une place toute particulière dans mon cœur. Je ne vais pas trop m'attarder sur les aspects formels de ce film, je vais plutôt vous raconter ma vie, alors si ça vous intéresse pas, ce que je conçois parfaitement, voici votre chance de passer votre chemin.
Voilà.
Pour les deux du premier rang qui sont restés, sachez que du haut de mes 13 ans, ce long-métrage a été un des premiers films que j'ai revu un nombre massif de fois dans des situations variées, en dehors de ceux devant lesquels mes parents me plantaient quand j'étais un petit con insupportable.
Ce n'est pas un grand film, non, mais c'est un de ceux qui m'ont appris à aimer le cinéma, qui m'ont appris à regarder d'autres films du même genre lorsque j'en appréciais un. J'ai notamment pu voir 28 jours plus tard plus tard (Jeu de mots) et l'armée des morts après coup, ainsi que, quelque temps après le Retour des Morts vivants.
C'est un film qui pour moi a tenu les promesses qu'ils faisait, et qui m'a fait, et me fait encore, passer de très bons moments lorsque je le regarde. Pas d'histoire d'amour nulle à la guimauve. Un personnage solitaire en situation de pure survie, une situation que j'apprécie encore tout particulièrement au cinéma.
C'est aussi une question de génération je pense. Pour les personnes nées dans les années 80 ce sont des films comme Jurassik Park ou Retour vers le Futur qui jouent ce rôle (Oui je généralise. Bref vous m'avez compris). Et bien pour moi c'est celui ci. Entre autres.
Du coup, film, je t'aime, et je te regarderai encore à moult reprises.
Et il faudrait peut être que je lise le bouquin un jour.