Il était une fois, une fois par Patrick Fillinger
Bien que l'interprétation - même si caricaturale - des Belges, pleine d'entrain, en particulier Jean-Luc Couchard (Dikkenek), me fera toujours rire, j'ai globalement été déçu par l'histoire de ce gentil casse, reposant sur les bons sentiments et jouant (trop !) sur la naïveté aussi bien du côté des bons que des méchants. Même si l'idée de base de faire un film sur les clichés communautaires belges s'avérait être prometteuse, ça s’effrite (oui) rapidement avant de tomber un peu à plat (pays, oui). Il était une fois, mais pas deux.