Le titre du film ne trouve sa justification qu’en toute fin de métrage à travers le mythe d’Icare. Ici, cette figure mythique vient symboliser le rôle du procureur Henri Volney interprété à l’écran par Yves Montand. L’histoire, coécrite avec Didier Decoin, et les personnages mis en scène par Henri Verneuil sont purement fictifs mais ne relèvent pas d’un quelconque mythe. Pour effacer tout potentiel doute en la matière, le cinéaste met en scène et filme l’assassinat du président d’un pays non nommé. Cette introduction puis son développement renvoie à l’assassinat de John F. Kennedy. Lire la critique complète.