Agnieszka Holland propose dans Green border un long périple d’une durée quasi déraisonnable de 2h30. Ce film au long cours s’évertue à suivre l’exile d’une famille syrienne qui cherche à rejoindre la Suède. On distingue dans ce long-métrage deux parties distinctes encadrées par un prologue et un épilogue. L’ensemble, inégal, ne parvient pas à constituer un tout. Le contenu animé de bonnes et louables intentions prête le flanc à une lecture critique. Au final, le film interroge plus qu’il n’apporte de réponses. Au-delà de l’exposé proposé, on peut légitimement se questionner sur les réelles intentions de la réalisatrice. Lire la critique complète.