Et soudain tout le monde joue mal...

Non mais ça finit mal en plus !!!


18.30, tu quittes Vendôme.
Après un passage éclair au Grant's Live pour découvrir Sébastien Giray, qui n'est pas spécialement drôle tu te rends au 285 chez Vince & Mike pour un petit "Hi, Hello, Bonjour" de courtoisie. Tu croises Caroline et Roxy.

Le MK2 Nation n'est pas très loin, tu souhaites t'entretenir avec Mélanie Laurent: "Et soudain tout le monde me manque" est à l'affiche.
Trailer sympathique, histoire qui ne peut pas spécialement ennuyer. Tout semble drôle et léger.
Mélanie Laurent est toujours aussi mignonne, son jeu est juste. On ne peut qu'aimer, hein!?
Mais petite déception, tu tombes sur une mise en scène étrange, un bon jeu d'acteurs proche du zéro absolu. Que se passe-t-il?
La jeune blondinette aux yeux clairs (bientôt 30 ans), tient le film et heureusement. Sinon ... et soudain tout le monde quitte la salle.
Tu ne vas pas trop parler de ce film, car trop en dire serait gâcher les effets de surprise.
En résumé, Michel Blanc est un père égoïste, raciste, misogyne... il est tout et rien à la fois. Il est juste maladroit, touchant et futur père à 60 ans.
Bref, histoire mignonne, mais tout va trop vite, ça manque de crédibilité, de justesse.
Bien dommage, l'idée semblait intéressante et drôle.

À noter: tu aimes le vernissage et les œuvres qu'expose le personnage joué par Mélanie Laurent.
Tu te rends compte, qu'elle joue un peu comme Marion Cotillard et ça ne te dérange pas.

Film à voir, chez soi lorsqu'il pleut dehors.