Denzel washington et le digne successeur du Shape de John Carpenter.

Equalizer 3 réalisé par Antoine fuqua, qui signe normalement la fin du personnage de robert McCall, toujours interprété avec "finesse" toute proportion garde bien entendu par le charismatique denzel Washington.

Robert McCall avait à faire à la mafia russe par le passé, place maintenant à la camorra, la mafia italienne, McCall se retrouve gravement blessé après son dernier travail et se retrouve à devoir rester sur une petite île en Italie ou il fait bon vivre, malheureusement il y'a quelques nuages noir qui recouvre le ciel, mes McCall et là pour remédier à la situation et faire disparaître une bonne fois pour toute, cette noirceur qui ternis l'île et ces habitants qui ne demandent qu'une chose vivre en paix.

Pour se troisième épisode Antoine fuqua préfère la latence à l'action, même si j'ai jamais vraiment regardé cette franchise sur le prisme de l'action, donc je n'es pas été dépaysé pour le coup, même si c'est vrai que dans la première heure on a beaucoup de redondance dans le récit, ou l'on voit McCall marché dans les ruelle de naple (si je me trompe pas d'endroit) parler à différents habitants pour s'acclimater du lieux et pourquoi pas finir ses vieux jours ici, bref ça peut être ennuyeux pour beaucoup de monde, personnellement j'ai trouvé que toute cette lente mise en place était parfaite, pour instaurer un climat chaleureux et convivial ou la noirceur s'entremêlent dans la joie de vivre de ces habitants, qui même dans leur malheur il garde une lueur d'espoirs et reste unis jusqu'au bout, en plus d'avoir des plan de l'Italie filmé tel une carte postale ce qui donne encore plus envie d'y aller, même s'il y'a une tâche sur le tableau avec la présence de la mafia ça reste un beau pays, et fuqua c'est mettre en avant ces jolies décors.

Cette trilogie Equalizer reste avant toute chose un thriller noir, et pour le coup c'est clairement le plus sombre des trois, et donc pour moi le plus réussi des trois, même si j'ai une préférence pour le premier qui reste plus efficace dans son traitement de la justice expéditive, ce troisième épisode et le plus sombre surtout par rapport à son personnage principal, Robert McCall, ici il et plus impitoyable que jamais, même si on pourrait croire qu'il et moins violent que par le passé, parce que le film et encore plus posé que les précédents et que McCall parait plus assagit, alors qu'en faite pas du tout, il attend patiemment jusqu'à trouver le bon timing pour intervenir et apprendre au criminel se qu'est la vrai douleur, et il passe de la théorie a la pratique dans la même soirée (scène du restaurant pour se qui on vu le film), après il faut pas oublier qu'il utilisé des piège retors pour abattre la plupart de ses assaillants il aller rarement au contact, ici il y va frontalement, même si malheureusement toute l'introduction et quasi hors-champ, mes on le voit tout de même plus se salire les mains, même dans son climax qui et clairement moins impressionnant côté mise en scène que les 2 précédents mes tous aussi radical, il tue tel une ombre dans la nuit, j'y et presque entrevu une sorte de Michael myers dans la manière dont fuqua mes son protagonistes en action, les proie de McCall non même pas le temps de réagir qu'ils ont déjà mort, tous ça pour dire qu'on a un protagonistes qui se rapproche clairement plus du anti-heros psychopathe que d'un pur justicier qui veut protéger la veuve et l'orphelin, même McCall ne ses pas si il et gentil ou méchant, après fuqua joue avec cette ambiguïté du personnage, dans le sens où McCall risque ça vie pour des inconnus et pourtant on sent dans sont regards qu'il prend plaisir à tué, je pense même qu'il a besoin de ça pour se sentir vivant, donc ces assez difficiles de vraiment cerner McCall psychologiquement parlant, il pourrait très bien être un psychopathe méticuleux, ou alors simplement une personne raisonné qui et conscient de ce qu'il fait, et qu'il n'a malheureusement pas d'autre choix que la voie expéditive, McCall reste un personnage torturé par un passé sombre qui le ronge de l'intérieur, après se qui et dommage ces qu'au lieu dans apprendre plus sur McCall on nous sort un sous intrigue bateaux qui casse le rythme au film, j'en parle dans la petite zone spoiler.

Pour conclure sur equalizer 3, c'est pour moi le meilleur épisode de cette franchise, on a une œuvre bien plus sombre et violente, le tous baignant dans une ambiance macabre quand fuqua lâche le psychopathe qui sommeil en McCall sur ces détracteurs, bien que le film prennent beaucoup son temps pour placer les décors et les personnages, en plus de cette pseudo intrigue sur des potentiels terroristes qui pour moi et le véritable problème rythmique du film, je ne me suis à aucun moment ennuyé ces bien entendu grâce à la réalisation soigner de Antoine fuqua, qui ces non seulement mettre ces décors en valeur mes aussi son acteurs fare denzel Washington, il et clairement la plus grande qualité de l'œuvre, sans lui ce troisième épisode aurait sûrement été bien triste à voir du moins pour moi, je trouve que ce film se rapproche beaucoup d'une œuvre que personnellement je n'es pas apprécié, the american avec Georges clooney, ou je m'étais littéralement ennuyé à l'époque, je ne les jamais revu et pourtant il reste gravé dans ma tête par cette aspect lent et répétitif qu'on retrouve dans ce equalizer 3, sauf qu'ici il y'a un souffle de vie dans cette petite bourgade italienne, et quelques fulgurance bien violente qui anime un peu le récit posé par Antoine fuqua, equalizer 3 et un excellent thriller noirs qui ces prendre sont temps jusqu'à l'implosion.👍👍😊