Il arrive souvent que les films d'horreur mettent en scène la confrontation entre un affreux (psychopathe, monstre, tueur en série...) et ses victimes au cœur d'un huis-clos (maison hantée, vaisseau spatial...) où il s'agira de se cacher pour mieux sauver sa peau. Don't Breathe a l'originalité de prendre le contre-pied d'au moins deux de ces codes. Le "méchant" est ici, du moins au départ, une victime. La victime de ces petites frappes de peu de moralité qui ne trouvent pas d'idée... Lire la critique de Don't Breathe : La Maison des ténèbres