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Deux jours à tuer par Asoliloque
Passé la jubilation des premiers visionnages, le film finit par rancir de son ton moralisateur, de son écriture hypocrite (la fameuse scène "culte" du repas entre amis est en définitive le pire passage) et de son scénario prévisible. Mais malgré le passage des ans, la douleur rentrée de Marie-Josée Croze, abandonnée à l'incompréhension, l'épuisement de Dupontel dont le talent s'exprime à chaque fois qu'il s'arrête de gesticuler, et surtout la chanson de Reggiani au générique continuent de serrer le cœur. Et de sortir les larmes.
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Créée
le 29 mars 2019
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