avec Télérama Bergman c’est forcément excellent. Eh ben non qd on fait réalise 1 à 2 films par an il y a nécessairement du gâchis et des ratés. De la vie des marionnettes est un film verbeux où les personnages se regardent un peu le nombril et beaucoup celui du meurtrier, le personnage principal qui par ailleurs adore s’analyser et se faire analyser par sa femme, son psy, son meilleur ami.
Entre les déprimés, les frustrés et les pédants tous animés d’une logorrhée incessante on attend sans succès des scènes magiques comme Bergman sait en produire et on parvient à la fin avec soulagement.