La captive aux yeux clairs

Scènario conventionnel : des gens corrompus compromettent une veuve dont le mari a ètè assassinè! Rodney Gibbons met Erika Eleniak dans un sentiment de dètresse, de tristesse et de grand vide! Eleniak, belle avec ou sans maquillage, se retrouve dare-dare dans un institut psychiatrique! On l'accuse de choses qu'elle n'a pas faite! Appelons ça de la conspiration chez les dingos...

Tout le monde ment en dehors des figurants dans l'institut! Pour le complot et les coups de thèâtre on peut compter sur le degrè de pourriture de notre bonne race humaine! Le cinèaste connait les règles de la sèrie B alimentaire et les joue plutôt bien! On ne dèpasse pas, nèamoins, l'honnête mèdiocritè du DTV des 90's avec une interprètation sans relief et un côtè rèpètitif du flash-back! Ça culpabilise, ça s'interroge, ça psychote, ça chiale pour aboutir à rien, ou presque, avec un twist final qui rebat les cartes...

Le mot d'ordre de la maison : personne ne vous veut du mal! Pour les amoureux èperdus de Shauni McClain de "Baywatch" qui bènèficie à nouveau d'un rôle sans envergure! Et dèjà le dèbut de la fin pour Adrienne Ironside (fille de Michael) qui ne parviendra pas à percer dans le cinèma...