C’est l’histoire de l’attraction des êtres et des chairs, un maelstrom passionnel, une chronique humaine des sentiments, fragile et délicate. Avant Innocent – The dreamers, la suavité des relations interpersonnelles et la quête de personnalité sont déjà des thèmes récurrents du cinéma de Bertolucci. Présenté à Cannes en 1996 (sans succès toutefois), ce film peint une jolie carte postale d’une société vivotant dans une belle demeure rustique en Italie. L’arrivée de cette sensuelle beauté... Lire la critique de Beauté volée