Un film aux références assumées, inclassable, jouissif qui en met plein les oreilles.
Le réalisateur, jeune quadragénaire, avait déjà séduit (ou irrité) le public et/ou les cinéphiles en passant de la télévision au cinéma avec Hot Fuzz (2007), Scott Pilgrim vs. the World (2010) ou encore The World’s End en 2013. En tout cas, il n’avait pas laissé indifférent. Son dernier long-métrage est une véritable claque et une très très bonne surprise. Et pour ce dernier terme, il vaut mieux ne rien dire de trop du film, au risque de spoiler, de « divulgâcher » le plaisir du spectateur qui va se voir offrir sur un plateau presque deux heures de film où l’action et la musique se conjugue aux jeu de grands acteurs pour vous offrir une histoire qui puise ses racines (références probablement assumées) à The Driver (Walter Hill, 1978) et à Drive (Nicolas Winding Refn, 2011), le tout à la sauce Tarantino et probablement un peu Guy Ritchie.
Une critique plus approfondie ici...