Trois constantes caractérisent le cinéma d'Abbas Kiarostami : la mise en abyme, les paysages et les chemins. « Au travers des Oliviers », dernier opus de la trilogie Koker, délaisse au moins en apparence les deux derniers mais pousse à son paroxysme le premier. En effet, les trois volets s'emboîtent comme des poupées gigognes : « Au travers des oliviers » (1994) suit le (faux)... Lire la critique de Au travers des oliviers