Tu as du le comprendre depuis le temps que tu me lis, et j'espère que ça fait un bout de temps quand même, je suis un peu un fainéant. Et c'est un euphémisme.
Voilà ce qui explique mon titre. Glandouillant sur internet au lieu de continuer de mater les épisodes d'evangelion que je dois voir, je suis là à partager mon temps entre d’éventuelles intervention sur Sens Critique et un refresh toutes les dix minutes de la page Fb sur mon navigateur.
Je suis les mises à jour de The End store, un store qu'il est bien de suivre, je dis ça hein...
Aujourd'hui, partage sur facebook de leur dernier article paru sur leur blog.¹
Et il est question de ce réalisateur, du fait que son travail n'est pas facile à dégoter en France, et d'une de ses intervention concernant son propre travail, paru dans une revue photo.
En bonus de cet article tu as droit à des liens vers quelques un de ses courts, disponibles sur Youtube.
On ne remerciera jamais assez ceux qui, afin de partager leur trésors, les mettent à disposition du plus grand nombre.
Plutôt que de sans cesse les menacer sous couvert de respect des droits d'auteurs, nous devrions être reconnaissants.
Je le suis car sinon comment aurais je eu accès à cette découverte?
Ici, ce qui intéressera le curieux, c'est la façon dont Toshio Matsumoto a décider d'opérer avec la caméra suivant une façon de faire qui rend la vision de son oeuvre presque douloureuse à regarder.
L'idée de filmer en suivant des cercles concentriques donne un résultat auquel aucun épileptique ne saurait survivre.
Je dois t'avouer que si je n'avais pas lu l'article avant de cliquer sur lecture, je n'aurai pas du tout compris où Toshio Matsumoto voulait en venir.
Evidemment c'est le côté éminemment expérimental qui nous retient durant ces 11 minutes. Et à ce titre je pense que ce court mérite d'être vu.|
Je suis même étonné de constater que certains de mes éclaireurs n'ont pas noté cette oeuvre.
¹ http://theendstore.blogspot.fr/