Il y a bien là tous les symptômes :
- des méchants très méchants
- des gentils très gentils
- un scénario où tout est prévisible (on pourrait s’amuser à en faire un concours)
- des clichés à la pelle
- le héros solitaire qui a raison et qui combat seul (avec son pilote-taxi quand même) toute l’armée américaine, et qui…. gagne (vous aviez deviné ?)
- et au final, la morale (américaine) est sauve : à la fin les Américains sauvent le monde (qu’ils ont eux-mêmes mis en danger).
Un navet, certes, mais mijoté à l’américaine, donc avec des moyens, des stars (Dustin, qu’es-tu allé faire dans cette galère ?)