BD franco-belge de Alejandro Jodorowsky et François Boucq (2002)
Le personnage de Seth suit sa quête, et ça passe forcément par une formation accélérée.
On reprend le déroulé logique du récit: le premier tome s’ancrait totalement dans le scénario façon Jodorowski, celui-ci enfonce un peu plus le clou.
On pourrait quand même lui reprocher de jouer toujours le même air à l’ami Jodo, et à vrai dire certains dialogues font lever les yeux au ciel tant ils sont attendus.
Pareil pour le grand retournement de situation, ben oui mais bon on s’en doute assez vite quand même non?
Bref, ça reste une bande dessinée de bonne facture mais rien de bien transcendant non plus, et j’avoue que je suis bien moins sensible à l’univers west terne qu’à des créations très novatrices de science fiction qui viennent habituellement compenser des dialogues un peu plats.
J’aime assez Jodorowski mais je lui reproche souvent des dialogues et un déroulement d’histoire qui manque de vie, des choses trop froides.
Ici ça se vérifie, et j’attends la suite pour me réchauffer un peu.
Créée
le 18 oct. 2015
Critique lue 210 fois
4 j'aime
D'autres avis sur La Pitié des bourreaux - Bouncer, tome 2
Le personnage de Seth suit sa quête, et ça passe forcément par une formation accélérée. On reprend le déroulé logique du récit: le premier tome s’ancrait totalement dans le scénario façon Jodorowski,...
Par
le 18 oct. 2015
4 j'aime
J'ai été assez déçu. Le premier tome proposait tous les ingrédients du bon western assez traditionnel mais ce deuxième épisode va trop vite. Je réserve mon jugement en attente de lire la suite. Cela...
Par
le 21 avr. 2015
2 j'aime
Excellent tome, à la hauteur du premier. Une fois encore, le scénario manque un peu d'originalité (histoire de vengeance avec une pointe d'histoire à l'eau de rose), mais le contrat est parfaitement...
Par
le 15 oct. 2013
1 j'aime
Du même critique
Voici un film qui illustre parfaitement une certaine idée du cinéma, celle qui permet à des orfèvres de s’emparer de sujets politiques difficiles, abscons et d’en donner une interprétation qui permet...
Par
le 24 oct. 2019
31 j'aime
Comme quoi c’est possible de faire une comédie qui force le trait sans tomber dans la danyboonite aigüe (une maladie de la même famille que la kev'adamsite ou la franckdubosquite). Karine Viard...
Par
le 14 sept. 2017
27 j'aime
9
François Damiens dans un film qui s’intitule “les cowboys”, où il incarne un père de famille fan de country dans les années 90. Voilà une base qui donne envie. Envie de fuir bien loin. Sauf que ça se...
Par
le 18 nov. 2015
24 j'aime
7
