La Justice des serpents - Bouncer, tome 3 par iori

Exit le petit freluquet de Seth dont on n’évoque même plus le nom, place au rôle titre, LE Bouncer.


Cette fois-ci on a l’impression que notre héros prend un peu d’épaisseur, et l’intrigue du jour est un peu mieux ficelée et plus intéressante que les tomes précédents (même si on continue avec les coïncidences pas vraiment surprenantes et des discours encore trop coincés)..


On retrouve la tendance sadique de Jodorowski à faire vivre des épreuves toujours plus difficiles à ses héros. Et à vrai dire cette fois-ci la fin du tome m’a un peu secouée. Un tome qui nous rappelle qu'il ne faut jamais se réjouir quand il arrive un truc bien à un personnage, il risque de le payer cher.


Encore une fois peu de lumière à l’horizon, juste un catalogue assez désabusé de la cruauté humaine.

iori
7
Écrit par

Créée

le 18 oct. 2015

Critique lue 196 fois

1 j'aime

iori

Écrit par

Critique lue 196 fois

1

D'autres avis sur La Justice des serpents - Bouncer, tome 3

La Justice des serpents - Bouncer, tome 3
maddyba
6

Critique de La Justice des serpents - Bouncer, tome 3 par maddyba

Dommage, ce volet avait du potentiel avec une nouvelle fonction pour le Bouncer. Malheureusement, l'histoire avec Noemie enlève ce qui fait le charme de cette BD, à savoir une histoire de vengeance...

le 15 oct. 2013

2 j'aime

La Justice des serpents - Bouncer, tome 3
iori
7

Critique de La Justice des serpents - Bouncer, tome 3 par iori

Exit le petit freluquet de Seth dont on n’évoque même plus le nom, place au rôle titre, LE Bouncer. Cette fois-ci on a l’impression que notre héros prend un peu d’épaisseur, et l’intrigue du jour est...

Par

le 18 oct. 2015

1 j'aime

Du même critique

Adults in the Room
iori
8

La dette qui avait trop de Grèce (ou l’inverse)

Voici un film qui illustre parfaitement une certaine idée du cinéma, celle qui permet à des orfèvres de s’emparer de sujets politiques difficiles, abscons et d’en donner une interprétation qui permet...

Par

le 24 oct. 2019

31 j'aime

Jalouse
iori
7

Le cas-Viard

Comme quoi c’est possible de faire une comédie qui force le trait sans tomber dans la danyboonite aigüe (une maladie de la même famille que la kev'adamsite ou la franckdubosquite). Karine Viard...

Par

le 14 sept. 2017

27 j'aime

9

Les Cowboys
iori
8

Kelly watch the stars

François Damiens dans un film qui s’intitule “les cowboys”, où il incarne un père de famille fan de country dans les années 90. Voilà une base qui donne envie. Envie de fuir bien loin. Sauf que ça se...

Par

le 18 nov. 2015

24 j'aime

7