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Sur-estimé
Marquant l'arrivé de Mark «Kingdom Come» Waid sur la mythique Justice League, Tower of Babel a le grand soucis d'être légèrement sur-estimé par les critiques. Le gros problème de Tower of Babel est...
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le 17 févr. 2016
4 j'aime
Déjà à l'oeuvre sur l'excellent JLA: Year One, le scénariste Mark Waid signait l'arc Tower of Babel en 2000, Howard Porter, Pablo Raimondi et Steve Scott se chargeant du graphisme.
Mettant en vedette le mystérieux Ra's al Ghul, Tower of Babel imagine une menace originale tout en mettant clairement en danger les différents membres de la JLA, exploit rendu possible grâce à la paranoïa galopante d'un des héros les plus mythiques de l'écurie DC.
L'occasion de mettre en lumière l'incapacité de nos demi-dieux à se faire totalement confiance, leurs doutes et leur méfiance vis à vis d'autrui se révélant leur plus grosse faiblesse face à un adversaire redoutable et machiavélique. Un arc narratif intéressant, soignant aussi bien l'action que les rapports entre ses personnages, même si le style du trio Porter / Raimondi / Scott pourra en laisser plus d'un perplexe.
Malgré une approche stylistique déstabilisante, Tower of Babel permet de s'attarder sur les zones d'ombres de la JLA, sur une dynamique de groupe loin d'être encore optimale, pour le plus grand plaisir de ses ennemis.
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Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Le plaisir de buller selon Emma Peel et Gand-Alf. et Bubulles de 2016.
Créée
le 16 août 2016
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7
Paranoïak.
Déjà à l'oeuvre sur l'excellent JLA: Year One, le scénariste Mark Waid signait l'arc Tower of Babel en 2000, Howard Porter, Pablo Raimondi et Steve Scott se chargeant du graphisme. Mettant en vedette...
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