Berserk
8.5
Berserk

Manga de Kentarō Miura (1989)

La première fois que l'on ma parlé de Berserk était il y a à bien longtemps. Je n’aie ni eu le temps ni l'occasion de la lire. Avec le temps beaucoup d'autres livres me sont passé entre les mains. Avec le temps aussi, j'en ais beaucoup entendu parlé, puis il à finis par apparaitre comme un incontournable dans la bouches de bon nombres de personnes autour de moi. Je finis, à l'occasion de la bibliothèque d'une amis, par m'y mètre. Je lui ai empreintés les dix premiers tome et J'ai commencé à lire.


Très vites, la lecture m'est devenue difficile. Dès la fin du troisième tome chaque pages amenais sont lot d’agacement. j'ai finis par sortir totalement du contrat de crédulité. Plus je continuais plus ma lecture était techniques, m'éloignant à chois fois un peu plus d'une possible immersion. finalement j'ai lue les dix premier tomes que l'on m'avais prêté. J'avais tiqué sur toutes les incohérence de scénario, pesté sur chaque stéréotype de dessin, fulminé sur les clichés psychologique s’enchainant à chaque cratérisation de personnage. Ce n'était pas pour moi, je ne voulais ni gâcher mes prochaines soiré ni pourir le ou la prochaine personne me disant que c’était sont manga préféré. Même si dans le secret de ma chambre je m'adonne volontiers à l'art toxique de gardiennage de porte. Je trouve ça socialement assè nul et peu constructif. Je dessidais alors de lâcher l'affaire, je n'avais pas besoins de plus de preuve. mon avis était fait.

C'est alors qu'un amis proche me dit ce que je craignais le plus à ce moment là "ha mais, tu n'as pas aimé, mais c'est par-ce-que tu n'as pas lue jusqu'au tome 12 !" J'ai suffisamment d'amour et de confiance pour cet amis pour être sur qu'il à raison... Mais j'ai lue presque 1400 pages de bédés, dont si je fait le calcule honnête, j'ai trouvé le contenue catastrophique. Je me dit que la concision est une qualités que berserk n'as pas.


la version que vous lisez est provisoire et est amenée à évoluer. merci de votre lecture et de votre compréhension.


ça fait pas mal de temps que cette critique me trotte dans la tête, j'ai beaucoup hésité, mais ce soir, deux ans après cette lecture, c’est l'occasion moi de faire ma première chronique sur sens critique, avec un bon vieux pavé dans la mare. Vous l'avez déjà compris je n’ai pas aimé les dix premiers tomes de cette bande dessinée. je vais tenter de vous partager ce qu'y m'y à déplus de la manière la plus formelle possible, en m'éloignant le plus possible du jugement de valeur ou du gardiennage de porte.Je n'ais pour l'instant pas d'angle particulier à ma critique, je vais me contenter d'énoncer un certain nombre de points thème par thème.


L'histoire :

Il est difficile d'avoir un avis purement subjectif ou technique ici et ma lecture remonte un peu et je n'ai plus en tete tout ce qui m'avais choqué. Pour moi un des principale défaut est inhérent à sont format de récit à suivre au long cour. L'histoire, suis une trame formellement décousu est n'est mus que par des éléments décrit. Et ni par une trame narrative classique, ni par l'évolution dans un univers tangible et choérant. Un des exemple frappant de cette faiblesse d'écriture est l'aspect géopolitique. On ne sais jamais vraiment ou se situe l'histoire. Le pays s'appelle "Midland" je trouve que c'est dur de faire moins immersifs encore. On ne sais pas dans quel régime politique on évolue et comment ça fonctionne. On dois se contenter de quelques information flou et pas toujours logique entre elles. Ce manque de précision, rend des guerres, les intrigue de pouvoirs, les drames humain et les événement en générale très abstrait. Il me parais difficile de comprendre le pourquoi et le comment d'à peu près tout. Rien n'as vraiment d'origine, rien n'as vraiment de conséquence. La psychologie des personnages fonctionnes pareil, on nous en parle le moins possible, pour que quand quelque chose d'improbable se passe on n’ai aucun référent contradictoire, au finale ça rend les personnages très vide, imprévisible et caractériel. Ce qui meu les personnage est très grégaire, étre le plus fort, faire du zizi, se venger d'humiliation imaginaire... Vous remarquerez qu'un des ressort narrative principal est la violence. Elle est sois physique, sois sexuel mais jamais psychologique, il faudrais que les personnage sois un tant sois peu écris pour ça. En parlant il m'apparait que mis à part un aspect "jubilatoire" aucune de ces très nombreuse scène apporte quoi que ce sois à l'histoire globale. Et en font au passage un recit que l'on pourrais percevoir comme fétichisant ces violences.


Le dessin :

Difficile de ne pas voir le niveau de dessin stratosphérique. Mais je dois bien avouer que passer l'aspect technique pure, je le trouve peu expressif et froid. D'une certaine manière ça colle au récit, mais je ne peu pas m’empêcher de penser que le récit gagnerais en grain, en bizarrerie et dissonance de dessin. Les décors sont juste, mais peu imaginatif et la ligne est impersonnel, j'oserais dire scolaire. Ce cocktail rend l'univers assé commun et manque franchement de folie ou d'étrangeté à mes yeux. L'histoire du manga est jalonné de décors à la fois ultra réaliste et immersif, ce n'est pas le cas ici.


La mise en scène :

Le découpage est sobre, c'est à mes yeux une qualités. La mise en scène inter-case est extrêmement fluide et narrativement parfaite. La mise scène est très bonne, mais au final n'est jamais vraiment ni transcendantale ni très créative. Là caméra est là ou elle dois être, les ellipses sont constantes. La composition esthétique des cadrages est peu impactante, ce qui fait que les cases individuellement sont assé peu marquante et que les pages ont très rament de force en elle même.


Mon avis global :

Berserk est une œuvre impressionnante et foisonnante du début de ce siècle. Il est évident que le tapage autour de l’œuvre joue beaucoup dans mon agacement. Mais à mes yeux de hipster insupportable, Bersek est un feuilleton pour ado parmi tant d'autre. J'aimerais dire que Berserk n'est en aucun cas un chef d’œuvre de la bande dessinée, cette affirmation demande bien sur des détailles. Je compte bien compléter cet article bientot. Beaucoup trop d’œuvre dont on ne souviens pas explore les même thèmes, exploite les même aspect narrative, crée avec les même contraintes plus finement et plus brillamment. Mais je prendrais le temps de développer ma pensé.


Ma note :

C'est une bonne bédé mais sans plus, naturellement je donnerais un 5 ou un 6, mais je dois bien avouer que l'obsession de l'auteur pour les viols et les situations morbide gratuite lui font perde pas mal de crédit à mes yeux. Il est fort probable que si j'avais lue bersek il y a 16 ans, là première fois que l'on m'en as parlé j'aurais aujourd'hui un avis bien plus clément.


Merci de votre lecture.

Filex

Filex_Chimra
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le 23 févr. 2023

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Filex_Chimra

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