JUSTICE LEAGUE #50
Scénario : Geoff Johns Dessin : Jason Fabok Couleur : Brad Anderson


Ça y est ! Nous y sommes ! La grande conclusion de Darkseid War ! Le grand final !
Exit Darkseid. Exit l’Anti-Monitor. Il ne reste plus que Graal et sa nouvelle arme : Steve Trevor ! Nos héros, « gonflés » par leurs nouveaux pouvoirs divins, doivent encore se battre pour mettre fin à la folie de Graal !
Mais il reste encore une autre arme à l’Amazone, avec l’enfant surpuissant, venant de naître, de Superwoman.
Un final explosif, à l’image de toute cette énorme saga. Il faut dire que les fans auront attendu pour avoir, enfin, une bonne saga pour la Justice League, version New52. Si elle n’est pas exceptionnelle, elle reste jouissive à lire, profondément mainstream, sans le moindre temps mort et avec une surdose d’action et de combat.
Graphiquement, cela aura été un régal de suivre les dessins de Jason Fabok. Je n’étais plus fan de cet artiste, mais il faut reconnaître que cette saga est, graphiquement, époustouflante. Je reste sur le c… devant sa Wonder Woman, un magnifique mélange de sensualité, de charisme, de puissance et de charme.
Bref, il aura fallu attendre la fin des New52 pour enfin avoir quelque chose à lire pour la Justice League. Et ces cliff de fin ! Le Joker !


TITANS HUNT #3
Scénario : Dan Abnett Dessin : Paulo Siqueira, Geraldo Borges et Jackson Herbert Couleurs : Hi-Fi


Simplement survolé. Dick se retrouve en plein combat entre Garth et Donna Troy.


FLASH #52
Scénario : Van Jensen Dessin : Jesus Merino Couleurs : Guy Major


Le Sphinx s’étant cassé les dents, durant « l’An Zéro », sur Batman à Gotham City, il s’est dit qu’il aurait peut-être plus de chance contre un héros un peu moins « puissant » ou « emblématique ». C’est ainsi qu’on le retrouve à Central City à malmener notre pauvre Flash.
Et cela s’annonce plutôt bien pour le vilain, il a réussi à convaincre la police, le capitaine Frye en tête, que Flash était un danger pour la ville, s’est amusé à semer la zizanie dans les Lascars et même poussé Barry Allen à se rendre et à révéler son identité !
Voilà Flash sur le point de se faire guillotiner, mais voilà que les drones du Sphinx détectent les mouvements d’un bolide en ville ! Flash va avoir l’occasion de mettre fin à tout cela avec de nouveaux alliés…
Un petit mot sur les dessins, qui ne cessent de chuter, en termes de qualité, depuis le départ de Manapul et Buccellato. C’est devenu d’un banal, d’une déception. Cela dit, il n’y a pas que les dessins qui sont en perte de vitesse, les intrigues le sont tout autant depuis ce départ.
Bref, à l’image du titre depuis pas mal d’épisodes, et son essoufflement, nous avons le droit à un ultime épisode d’une grande morosité. Quel dommage de voir le titre se terminer ainsi.


GREEN ARROW #51
Scénario : Benjamin Percy Dessin : Szymon Kudranski Couleurs : Gabe Eltaeb


Un épisode, Oliver Queen apprécie son infection au Lukos, un autre, il veut la combattre. C’est cette dernière option qui doit être privilégiée par Oliver, et sa sœur Emiko, puisque la situation dégénère à Seattle.
C’est ainsi que le trio, il ne faut pas oublier George le chien-loup, débarque au Nigéria pour y trouver le Docteur Miracle, un homme capable de soigner n’importe quelle infection, n’importe quelle blessure !
Si leur arrivée en Afrique n’est pas une réussite, cela le devient plus avec l’arrivée de Deathstroke ! Lui aussi à la recherche du Docteur Miracle !
Bref, un petit séjour en Afrique qui vire au drame…


WONDER WOMAN #52
Scénario : Meredith Finch Dessin : Miguel Mendonça Couleurs : Stephen Downer


Et dire que j’ai raillé la pauvre Wonder Woman sur sa crédulité lors du précédent épisode, alors que je me suis fait avoir de la même façon !
Diana en à ras-le-bol que l’on lui mente, et elle décide à passer à l’action, comme il faut, pour de bon, sans se soucier d’untel ou untel ! Place à une déesse en colère et de son lasso de vérité !
Mais est-elle prête à tout entendre ? Est-elle prête à ce grand final ? Est-elle prête à tout ce qui va en découler ?
Bref, Meredith Finch conclut le titre, et son run, de façon moins pire qu’elle ne l’avait commencé. En replongeant, un peu, dans le travail, l’excellent travail, de Brian Azzarello, on se retrouve avec un final moins catastrophique qu’attendu. Heureusement que David Finch n’ait pas tenu aussi longtemps que sa femme !

Romain_Bouvet
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le 4 mars 2017

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Romain Bouvet

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