Guitares affûtées et réminiscences Atheistiennes, ambiances majestueuses et mystères intrigants, mélodies imparables et clavier from outer space: à l'époque de sa sortie, Tribe était sorti en tourbillonnant de nos enceintes, bouleversant nos certitudes et réaffirmant que non seulement le Techno-Death – il est vrai teinté d'une touche progressive mystico-exotique – n'était pas mort, mais qu'il était toujours porteur de grandeur, de beauté et d'élévation de l'âme (Hare Sadist, Hare Sadist, Krishna Sadist Hare Hare …). Et que, tout comme Nocturnus nous l'avait déjà expliqué par le passé, le clavier pouvait parfaitement avoir sa place dans le Death, notamment quand c'est pour le magnifier ainsi.