
Ze grand classique du groupe, l'album qui sait tout faire : te faire danser, bouger, remuer ta tête, crier, taper dans tes mains et danser un slow tout seul.
Sérieusement, un album qui aligne Monkey Wrench, Everlong (personal favorite) My Hero et Walking after you mérite déjà le respect. Mais alors au vu de la grandeur du reste, je m'incline. Tout d'abord, je l'ai déjà dit dans mes critiques de Killing Joke et Songs for the deaf, mais quand Dave Grohl joue sur un album, c'est un classique assuré (même s'il ne joue pas sur 100% de l'album, mais tout de même).
Ensuite, y'a juste rien à redire sur la qualité proposée par le père Grohl et (à l'époque) Pat Smear et Nate Mendel, ma petite préférence actuellement allant à la chanson qui clôt l'album, à savoir New way home.
Bonus : la version anniversaire de The Colour and the Shape offre six chansons, qui ne font pas partie intégrante de l'album mais j'en parle quand même, parce qu'il y a des reprises de très bonne facture (Requiem de Killing Joke, Baker Street de Gerry Rafferty, Drive me wild de Vanity 6) et des b-sides (The colour and the shape, Dear lover, deux extrêmes) à ne pas rater.