Tout commence par une pièce ample, épique et classieuse, même si un peu trop longue. Et puis arrive le deuxième titre, tout de black sympho vêtu, avec une légère pointe de folk, tout aussi épique, riche en narrations et osant quelques harmonies hors-normes. Et là votre serviteur se dit qu’il aurait peut-être mieux fait de garder un œil sur la formation anglaise après le premier et un peu poussif... Lire la critique de The Chthonic Chronicles