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Faites le test : écoutez "The Big Roar" à faible volume, et vous n'entendrez qu'un salmigondis de mélodies inconséquentes, chantées plutôt moyennement par une interprète vocalement limitée, consistant systématiquement en une alternance de passage "atmosphériques" brumeux et d'envolées lyriques convenues. Maintenant montez le son, jusqu'au seuil de la douleur si vous le pouvez, et laisser le tsunami The Joy Formidable deferler sur vous : peu de groupes actuels conjuguent aussi brillamment brutalité extrémiste et innocence troublante. Peu de disques vous donneront cette année ce sentiment euphorisant d'une tempête sonore irrépressible, d'une violence - positive - aussi inouïe... Alors qu'importent les déficiences de composition ou d'interprétation, "The Big Roar" est un disque qui fait merveilleusement mal aux oreilles ! [Critique écrite en 2011]

Créée

le 23 janv. 2015

Critique lue 76 fois

Eric BBYoda

Écrit par

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