9
Ours d'or
Trois ans après être entré dans la royauté indie avec Veckatimest, Grizzly Bear revient avec un nouveau disque. Trois ans, c'est bien. C'est la période légale de promotion, tournée mondiale, écriture...
Par
le 18 nov. 2012
11 j'aime
6
Shields par François Corda
Ces quatre américains-là sont de vrais ours. Cachés dans leur montagne, au sein d’une forêt tortueuse dans laquelle on n’avance pas sans coupe-coupe, les Grizzly Bear élaborent une pop-folk savante. Ce sont des musiciens à tête chercheuse, qui n’envisagent pas la chanson autrement que broussailleuse, désordonnée, ardue. On pourrait parler de progressif, d’expérimental, mais c’est à la fois plus simple et plus compliqué que ça. En tout cas, malgré notre bonne volonté à suivre les chemins escarpés de Shields, on a bien du mal à rencontrer le climax.
Lire la suite ici : http://www.bubzine.fr/2012/10/08/grizzly-bear-shields/
5
Écrit par
Créée
le 3 janv. 2019
Critique lue 171 fois
D'autres avis sur Shields
6
Demi-teinte
Pour beaucoup, ce quatrième LP des coqueluches de Warp Records était attendu comme le messie de cette années 2012. Après la beauté pastorale de Yellow House et la pop sophistiquée de Veckatimest ,...
Par
le 3 oct. 2013
5 j'aime
5
bof
Même si l'on peut reconnaître toutes les qualités de voix, de production de tout ce qu'on veut, on s'ennuie à partir de "yet again" qui est d'un gnangnan à toutes épreuves. Le reste de l'album...
Par
le 24 avr. 2013
1 j'aime
1
Du même critique
5
Critique de Civil War par François Corda
En interview dans le numéro d’avril de Mad Movies, Alex Garland se réclame d’un cinéma adulte qui ne donnerait pas toutes les clés de compréhension aux spectateurs, à l’instar du récent Anatomie...
le 21 avr. 2024
4 j'aime
4
Les siestes blanches
La salle de procès qui introduit Les Chambres rouges est d'un blanc immaculé et incarne aussi bien l'inoffensivité de son propos que le vide existentiel qui traverse son héroïne Kelly-Anne. On ne...
le 24 janv. 2024
4 j'aime
1
8
My name is Patrick J. Pespas
Les frères Safdie, producteurs de The Telemarketers, ont trouvé dans Patrick J. Pespas l'alter ego parfait de leurs personnages aussi décalés qu'attachants créés dans leurs longs métrages de fiction...
le 3 nov. 2023
4 j'aime
