En perpétuelle progression depuis sa première manifestation au tout début de ce siècle, le quatuor new-yorkais à géométrie aléatoire a, très intelligemment, toujours su extraire la quintessence de toutes les extrapolations et expérimentations auxquelles, en chemin, ses membres se sont livrés. Améliorant à chaque fois l'architecture, le relief et le rendu du son, de l'espèce punk folk, cabossé et bricolé des débuts (Danse Manatee, 2001), Animal Collective passera à des chants de feux de camp psychédéliques (Campfire Songs, 2003, et Sung Tongs, 2004), qui muèrent en bouillonnantes ballades (Strawberry Jam, 2007), pour aboutir aujourd'hui à une forme absolument unique et incomparable de pop musique moderne. Neuvième du nom, Merriweather Post Pavilion est un pharamineux festival d'harmonies vocales qui vont laisser David Crosby et Stephen Stills – deux immenses spécialistes de la question – babas comme deux ronds de flan. Comme s'élevant du chœur d'une cathédrale, celles-ci cascadent et s'entrelacent (My Girls, Also Frightened), se dédoublent, s'empilent ou se démultiplient (Bluish, Guys Eyes), enveloppant la poésie fractale des mélodies, d'une dentelle céleste. Hypnotiques, elles ont aussi l'art de transfigurer la perception de l'environnement électronique assez pointu et fouillé dans lequel elles évoluent, en un élément organique de plus. Un grand tour de passe-passe ! L'irrésistible Summertime Clothes suggère la rencontre improbable de Buddy Holly et de The Residents, la ballade spatiale Daily Routine, celle de Syd Barrett et Terry Riley… Un peu plus loin, en ponctuant d'un didgeridoo fascinant la surréaliste Lion In A Coma, nous est donné un brillant aperçu de ce qu'est la per-fec-tion. Ravissant de plaisir ceux qui ont toujours eu du mal à encadrer l'aspect lisse, propret et ronéotypé de la musique des Beach Boys, Animal Collective a bien sûr généré une noria de copieurs et de suiveurs. Le hic, c'est que l'on ne plagie pas impunément Picasso. Bien trop voyant ! (Magic)


On était prévenus : Merryweather Post Pavilion serait l’un des grands albums des années à venir. Comme chacun de ses prédécesseurs. Ça en deviendrait presque lassant. On était prévenus : pour les avoir déjà croisés sur scène, on en connaissait la plupart des morceaux. La première fois, c’était en juillet 2007, à La Maroquinerie de Paris. On attendait sur scène le nouvel album Strawberry Jam – alors même pas encore sorti. Mais Animal Collective est comme Kasparov : toujours un coup d’avance. Dans une salle bouillonnante et prise aux tripes, le groupe médusait ainsi encore un peu plus ses cinglés de fans avec une batterie de chansons-OVNI et neuves, des trucs sortis du chapeau, ou des étoiles, ou de tous les effets de toutes les drogues consommées par l’humanité. En final apocalyptique, le groupe jouait Brothersport, morceau absolument gigantesque, furieux mantra électronique d’une beauté effarante et d’une efficacité terrifiante. Une transe hallucinée prenait définitivement le pouvoir d’une foule jusqu’alors remuante mais circonspecte, désormais hurlante, paniquée, fascinée, bondissante. Heureuse. Le groupe passait clairement un stade, lorgnait de plus en plus sur l’électronique, ses sons et ses méthodes, bien plus encore que sur le précédent Strawberry Jam. Les Américains n’avaient pas le choix, Josh/Deakin, leur guitariste principal, les avait lâchés en rase campagne, pour une longue pause obligatoire. “On s’est retrouvés ensemble à peu près un mois après avoir fini Strawberry Jam, et nous devions tourner aux Etats-Unis, explique Avey Tare. On avait une semaine devant nous et nous aimons toujours écrire de nouvelles choses avant de partir sur la route. Et cette fois nous le devions : Josh n’étant pas de la partie, on avait le choix entre jouer de vieilles chansons à trois, mais elles ne passent pas forcément, ou en écrire de nouvelles. On a choisi la deuxième solution. Josh a simplement voulu simplement s’éloigner un peu. Son père est mort. Au même moment, on allait tourner, on avait commencé à travailler sur un nouveau projet – il a eu l’impression, à raison, qu’il n’y aurait jamais aucune pause dans nos activités, alors qu’il en avait terriblement besoin. Il y a toujours eu, pour chaque album, un fait particulier qui l’a modelé. C’est quelque chose qui est constant dans l’histoire du groupe – on a tous perdu des êtres proches, traversé des épreuves difficiles et événements particuliers. Mais je crois que nous avons toujours réussi, d’une certaine manière, à renverser l’événement et à en tirer quelque chose de positif : de la créativité.” Créativité ? Le mot est faible – le vocabulaire français n’en contient d’ailleurs pas d’assez fort. Animal Collective a toujours été maître, ou esclave, des bouleversements intimes, mais le groupe ne s’était jamais à ce point révolutionné. Quoi de commun entre Spirit They’ve Gone, Danse Manatee, Sung Tongs, Feels, Strawberry Jam et, désormais, Merryweather Post Pavilion ? Pas grand-chose. Brutalement, sans jamais prévenir, le groupe a en dix ans sauté d’un élément à l’autre, de la terre à l’air, du feu à l’eau, ou les quatre en même temps, ou d’autres qu’il reste encore à inventer. Il est passé de jams abscons à un folk préhistorique puis à la pop des trois prochains siècles. De la sombre clandestinité avant-gardiste aux désirs de franche lumière. Décrire Merryweather Post Pavilion ? C’est un album aquatique. Plus qu’aquatique : amniotique. Electronique et enveloppant, nourri par des basses rondes (la production de Ben Allen, collaborateur de Gnarls Barkley ou Puff Daddy), rêveur, traversé par des mélodies et harmonies sublimes, floues et aqueuses, on s’y sent comme chez soi. Un chez soi d’avant la naissance, d’avant l’humanité ; on nage ici dans un invraisemblable bouillon de culture où tout s’invente et se croise dans l’instant, où chaque mélodie semble surgir de nulle part, ou les morceaux mutent en permanence, ou les rythmes captent le pouls de l’univers. D’une divine richesse, Merryweather Post Pavilion est une œuvre globale, un disque-Monde qui ne peut s’écouter à la découpe, dont les bouquets et émotions, fortes comme nulle part ailleurs, se développent de mouvement en mouvement ou de chanson en chanson – et ce n’est pas un hasard. “Nous étions cette fois fascinés par les ballets, par la dance music, par tous types de dance music d’ailleurs. Et par la musique classique, également. On en a beaucoup parlé, théoriquement. La naissance des tons, les crescendos, la manière dont elle se meut, évolue, se développe, nous intéresse beaucoup plus que la manière dont le rock le fait… Rythmiquement, la musique classique envahit tout l’espace, c’est tout l’inverse des rythmes rock, qui ne nous ont jamais réellement intéressés. Et j’aime l’idée d’une œuvre cohérente, des mouvements ; c’est comme ça que nous considérons un album, comme une chose globale. Nous avons voulu connecter tout ça à la dance, on voulait des titres qui fassent bouger les gens. Une sorte de ballet moderne, futuriste.” “I’m a dancer, I’m a dancer, I’m a dancer” psalmodie l’ouverture de l’album, dans la grandiose charge héroïque d'In the Flowers. Là encore, on est prévenus : il faudra danser. Danser dur, danser sur du rapide, sur l’extraordinaire clôture Brothersport, sans doute l’un des meilleurs morceaux des cinq dernières années, sur la vague brûlante et la basse obsédante de Summertime Clothes, sur la galopade tribale de Lion in a Coma. Ou danser mou, sur du lent, du minimal ; chaque morceau a son rythme propre, mais chacun de ces rythmes semble correspondre à une humeur corporelle, à un hochement de tête indispensable, à des houla-hops mollassons de hanches sensuelles, à des flexions et extensions des muscles internes – du cœur surtout. Œuvre complexe et révolutionnaire, Merryweather Post Pavilion est pourtant, et c'est presque une première pour les Américains, un immense et véritable album pop. Dans les recoins, malgré les torsions, nonobstant les recherches formelles et triturations soniques, jamais les mélodies stellaires du groupe n’ont à ce point brillé, jamais ses harmonies vocales ne se sont à ce point approché de l’extase. L’ultra romantique Bluish, les courbes bouleversantes d’Also Frightened, le chant de Guys Eyes dominant un impressionnant dédale de bruits biscornus, les comptines vicieuses Taste ou No More Running se sifflotent au quotidien, s’engluent dans la mémoire et collent aux neurones, font rêver, font voler, s’écraser parfois. Ce sont des chansons expérimentales pour tous, pour tous ceux capables de tenter des voyages incertains dont seule la destination est connue : l’avenir. (Inrocks)
Animal Collective, trio (le quatrième larron s'est fait excuser) aux pseudos rigolos - Panda Bear, Avey Tare et Geologist -, fait l'objet, depuis ses débuts en 2000 à Brooklyn, d'un culte grandissant dans la sphère électro-rock, option psyché planant. Ses concerts aux allures de raves hypnotiques et aux accents pop sont une garantie de passer un bon moment, festif, délirant. Mais, à l'instar des Flaming Lips ou de !!! (« tchik tchik tchik ») et leurs joyeux happenings scéniques, sur disque, c'est une autre histoire.Les fans affirment que c'est la formation la plus inventive du moment, que leur travail sur le son est sans précédent. Peut-être. Cela fait-il un album réussi et plaisant pour autant ? Pas sûr. En tout cas, on peut ne pas être sensible aux cinq minutes de bricolages sonores d'In the flowers, enchaînement de bruitages, de gratouillis néo-hippies, de chants évanescents et de battements de mains qui sert d'introduction plus fatigante qu'impressionnante. Bien sûr, My girls ou Bluish, avec leurs nappes de synthés à la Tangerine Dream et leur chant répétitif façon mantra, sont assez prenants et la jolie mélodie de Summertimes Clothes évoque avantageusement un Syd Barrett ou des Bee Gees (version sixties) à la sauce électro. Seulement, cette suite de gimmicks sonores, de rythmes tribaux synthétiques et de clins d'oeil (volontaires ou non) aux grandes heures du psychédélisme finit par sérieusement monter à la tête. Restent alors deux options : une cigarette qui fait rire pour continuer l'expérience ou une aspirine et au lit. HC
Voilà bien un album qui était largement annoncé, qui plus est comme étant brillant. Comme Animal Collective, fidèles à leur habitude, avaient déjà largement étrenné une bonne partie des titres en concert, il s'agissait somme toute d'une prédiction assez peu risquée. A vrai dire, on n'est pas mécontent de cette nouvelle réussite, puisqu'il nous semblait que d'aucuns, sans doute tout aussi prompts à suivre la hype qu'à guetter avidement le retour de bâton qui peut suivre, auraient fait leurs choux gras d'un plantage, ou du moins de l'amorce d'un déclin. Ce ne sera pas pour cette fois donc. On préfèrera plutôt se demander, à l'heure où les suivants se font de plus en plus nombreux, pourquoi continuer à les préférer, eux. Peut-être parce que, pour sophistiquée qu'elle soit, et au-delà de tout l'attirail sonore toujours aussi riche qui la baigne, cette musique continue néanmoins à rester étonnament instinctive. Je veux parler de cette capacité à subitement partir en vrille, et au milieu du bizarre, de larguer les amarres dans une embardée qui va provoquer une vibration ou je ne sais quoi au niveau du cerveau reptilien, qui va donner envie de se trémousser ou au contraire, juste de s'asseoir là pour partir dans une dimension inconnue. Quand on ne passe pas en un instant d'un état à l'autre, comme sur l'inattendue et bien belle transition depuis les profondeurs amniotiques de "Daily Routine" vers l'ensoleillé et très pop "Bluish". Auparavant, il n'aura pas fallu bien lontemps pour que "In the Flowers" se positionne dans la seconde catégorie. Que dire alors du sublime My Girls, paradoxe de (relative) simplicité dans l'instrumentation et de sophistication dans ses canons (on l'imagine très bien chanté a cappela d'ailleurs) ?Après que, d'entrée de jeu, le décor a été ainsi posé, la suite enchaîne sans relachement les pulsations vibratoires ("Summertimes Clothes", ou un "Brothersport" que vous pourrez presque sortir lors de votre prochaine animation de mariage) et les petits grands bonheurs vocaux ("Taste", "Guys Eyes"). C'est d'ailleurs bien la prééminence des voix, déjà fondamentales dans les deux derniers opus, qui marque celui-ci. Avey Tare et Panda Bear empilent plus que jamais leur chant, n'hésitant pas à forcer les choeurs jusqu'à une déclamation totalement libérée et solaire. De quoi largement écarquiller les oreilles de tous ceux qui essaient de leur ressembler, alors que eux continuent encore de se renouveler en restant eux-mêmes, et de ne ressembler à rien d'autre.(Popnews)
La musique d’Animal Collective est comme un baiser inattendu non désiré. On commence par le repousser, puis cela devient évident, agréable, après quelques secondes d’acclimatation.  Une impression que l'on avait pas encore eu sur un disque d’Animal Collective ; il a fallu que ça soit sur cet album que l’obligation de repousser soit la plus forte. Car ce "Merriweather Post Pavilion" laisse, à la première écoute, une drôle de sensation, comme si quelque chose de contre-nature se produisait. D’ailleurs la pochette en est l’illustration. Son violet tacheté de vert fluo se meut lentement sous nos yeux hypnotisés, pour mieux laisser paraître un intérieur à l’extrême opposée : un habillage cartonné romantique et aquatique. Comme un trompe-l’œil (l’oreille). Que l’on se mette d’accord d’entrée de jeu, ce disque n’a rien à voir avec les précédents. Pensez beats, house, electro, electronica, loin de leur musique déjantée tribale, mais bien une électro-pop plus proche des dancefloors. Sir Panda Bear est revenu tout émoustillé de son voyage en solitaire et souhaite  faire transpirer ses beatbox les plus saugrenues. Ainsi, la batterie et les guitares sautillantes ne sont plus si prépondérantes que ça, et laissent place à des rythmes électroniques lourds et calibrés, qui pourraient bien plaire aux plus fans d’électro d’entre nous. Pourtant tout démarre avec In The Flowers,  pouvant être un successeur de "Person Pitch", et au loin quelques beats montent, à pas lourd. Nous voilà projetés dans une autre dimension. Le disque s’emballe dans un torrent de sonorités électroniques, où pourtant chaque son a une place bien précise, découle d’une intention, et non d’une superposition hasardeuse. Au final, "Merriweather Post Pavilion" est album résolument mélodique, avec un tube à chaque titre, excepté peut être le Daily Routine, un peu répétitif et rappelant #1 sur "Strawberry Jam". Il n’y a qu’à écouter les excellents My Girls,  Summertime Clothes, Also Frightened, Bluish, Guys Eyes,  Brother Sport, No More Runnin, Lion In A Coma. Dans leur délire, les membres du groupe ont pourtant tenu à livrer une musique pointilleuse, rigoureuse dans les choix de nappes et dans leur enchaînement, tout en respectant ce qui a fait leur âme (une batterie loufoque utilisé certes à dose homéopathique, quelques guitares en cascade d'eau). Ne vous attendez donc pas à un album d’Animal Collective classique, mais plutôt à une petite révolution, pouvant être leur meilleur album à ce jour. Et pourtant, malgré ce virage, le groupe n’a jamais livré des morceaux aussi maîtrisés de bout en bout. Ce qui s’illustre simplement en écoutant les voix  posées, moins gueulardes, se faisant écho dans la plus belle harmonie. On pourra certainement regretter ce côté lo-fi bordélique qui faisait le charme de "Sung Tongs" ou encore "Feels". Et malgré la qualité intrinsèque  et indéniable de "Strawberry Jam", "Merriweather Post Pavilion" sublime leur discographie, ce qui fera réfléchir les pâles imitateurs de la nouvelle vague electro-pop. (indiepoprock)
Avec près d’une dizaine de disques au compteur, Animal Collective pourrait logiquement être considéré aujourd’hui comme un vieux groupe: adjectif en rien péjoratif quand il lui est accolé, tant chacune de ses étapes discographiques a toujours été accompagnée d’une véritable remise en question, d’une avancée non négligeable vers une identité bien marquée. En ce tout début d’année 2009, plus avant gardiste que jamais avec un “Merriweather Post Pavillon” d’ores et déjà considéré comme le disque incontournable du cru, Animal Collective défraye définitivement la chronique en inventant humblement le renouveau de la pop music, à seuls coups de travail et de talent. Comme il l’a toujours fait depuis le début des années 2000, mais cette fois peut être avec une excellence à ce point inédite. La main forcée par le destin et le départ momentané de son guitariste, Animal Collective marque là son évolution par une orientation beaucoup plus électronique que la dernière tournée du combo (la quasi-totalité des titres y était déjà jouée), ou même quelques extraits de “Strawberry Jam” le laissaient déjà présager. La dance music et la musique classique, deux influences auto proclamées, tout comme la ferme volonté du groupe de s’auto-sampler pour préserver des sonorités acoustiques, finissent elles aussi d’enfoncer le clou et d’offrir à cette nouvelle salve toute son originalité, son atmosphère brumeuse, évidente dès la première écoute. Pour apprécier ce “Merriweather Post Pavillon” à sa juste valeur, il faut donc l’approcher comme il a été pensé: dans sa globalité. Là, sa cohérence comme ses mouvements ne font que le servir un peu plus, illuminent chacun des titres, les rend indispensables. Alors, les rythmiques invitant à la danse (”Summertime Clothes”), les brillantes et directes mélodies (”In The Flowers”, le bouleversant et mélancolique “Bluish”) prennent tout leur sens, et contribuent à cette quête de transe omniprésente chez Animal Collective. Y compris quand Avey Tare et Panda Bear, on ne peut plus complémentaires, se font plus borderline, savonnant eux-mêmes leur planche via des rythmes décalés et des mélodies aussi difficile à pondre qu’elles en paraissent finalement faciles (”Also Frightened”, “Guys Eyes”, “Lion In a Coma”)Pourtant, au sein de ce tracklisting compact et indéboulonnable se cachent deux véritables pépites au destin intemporel: le sucré “My Girls” réinvente l’electro-pop à coups de basse et de claquements de mains, et la potion finale “Brothersport” fait magnifiquement entrer en collision des sonorités brésiliennes, africaines, tribales et psychédéliques. Elles sont les deux parenthèses de ce qui restera comme l’album le plus mélodique et accessible d’Animal Collective, le parfait reflet de ce que peut être un groupe fuyant la facilité, titillant les émotions, écartant de son chemin cette répétition que beaucoup de musiciens craignent mais que trop peu parviennent à éviter. Pour cela, “Merriweather Post Pavillon” justifie son statut (prématuré) de référence. (Mowno)
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le 10 mars 2022

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