Si l’on trouve Morbid Angel trop Néo, si l’on aime devoir tendre l’oreille à travers un écran brumeux pour deviner quelles stridences aiguës sont vomies par les guitares leads, si les plans retors ne le sont jamais assez et que le panard total c’est quand ils se mêlent à des passages Doom dépressifs et des trips Psyché « petit doigt en l’air » sur fond de thématique SF, alors on risque d’adorer Hidden History Of The Human Race. Comme, semble-t-il, une grande majorité de gens. Putain, ça y est, c’est sûr: je suis (devenu?) un vieux con qui ne comprend plus rien au Metal contemporain!