Une super vitrine pour le travail du Chapelier Fou
Impressionant sur scène comme au studio, le Chapelier Fou nous emmène dans son univers mélancolique, asymétrique, doux et pleins d'angles à la fois.
Cet EP permet de se faire une idée de l'étendue musicale sur laquelle travaille le Chapelier : la célèbre "Darling, Darling, Darling..." ouvre tout en douceur puour déboucher sur l'hyper-nerveuse "Superstitions" ,aux bruitages tout droit sorti de l'univers des jeux-vidéo.
On se rapproche de Tiersen sur le titre Trèfle ou sur Horses, beaucoup plus traditionnelles et abordables.
Un point négatif, surement l'horrible GmbH, où là on se dit "il va trop loin le bonhomme"... mais bon, il y a toujours une marge d'erreur chez les grands artistes, et peut être pour un cours de viviséction ça fera un fond sonore agréable?
Bref, du tout bon, une super vitrine pour le Chapelier Fou, une porte d'entrée pour ensuite foncer sur l'excellent album "613"