Cela faisait un moment qu’Electric Six n’avait pas fait montre d’une telle immédiateté dans ses compositions. Bride of the Devil regorge d’hymnes rock gras réhaussés d’une légère touche synthétique à l’efficacité… diabolique. Le chanteur Dick Valentine semble toujours aussi dégénéré après bientôt vingt ans de services : il mugit ici comme jamais, déclamant ses paroles débiloïdes avec la fougue qui le caractérise. Derrière ça riffe avec panache, frontalement, sans chichis.
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