Cela faisait un moment qu’Electric Six n’avait pas fait montre d’une telle immédiateté dans ses compositions. Bride of the Devil regorge d’hymnes rock gras réhaussés d’une légère touche synthétique à l’efficacité… diabolique. Le chanteur Dick Valentine semble toujours aussi dégénéré après bientôt vingt ans de services : il mugit ici comme jamais, déclamant ses paroles débiloïdes avec la fougue qui le caractérise. Derrière ça riffe avec panache, frontalement, sans chichis.


Lire la suite ici : http://www.bubzine.fr/2019/12/22/electric-six-bride-of-the-devil/

Créée

le 22 déc. 2019

Critique lue 53 fois

François Corda

Écrit par

Critique lue 53 fois

Du même critique

Civil War
Francois-Corda
5

Critique de Civil War par François Corda

En interview dans le numéro d’avril de Mad Movies, Alex Garland se réclame d’un cinéma adulte qui ne donnerait pas toutes les clés de compréhension aux spectateurs, à l’instar du récent Anatomie...

le 21 avr. 2024

5 j'aime

Les Chambres rouges
Francois-Corda
4

Les siestes blanches

La salle de procès qui introduit Les Chambres rouges est d'un blanc immaculé et incarne aussi bien l'inoffensivité de son propos que le vide existentiel qui traverse son héroïne Kelly-Anne. On ne...

le 24 janv. 2024

4 j'aime

1

The Telemarketers
Francois-Corda
8

My name is Patrick J. Pespas

Les frères Safdie, producteurs de The Telemarketers, ont trouvé dans Patrick J. Pespas l'alter ego parfait de leurs personnages aussi décalés qu'attachants créés dans leurs longs métrages de fiction...

le 3 nov. 2023

4 j'aime