Loin du sommeil des âmes grises
Oh là là, oh là là Sers-moi de l'amour dans un verre de pastaga Oh là là, oh là là On a fait le tour de Verlaine et de Kafka Voici un refrain qui sonne comme un bel aveu. Oui, avec...
le 20 déc. 2020
5 j'aime
Doré continue son p'tit bonhomme de ch'min en orchestrant un album so 2020, à la gloire des femmes, idéalisées. Si certaines ritournelles saisissent et charment, je préfère la multiplicité du "Mesdames" de GCM.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Décembre 2020 / Musique
Créée
le 16 déc. 2020
Critique lue 77 fois
D'autres avis sur aimée
Oh là là, oh là là Sers-moi de l'amour dans un verre de pastaga Oh là là, oh là là On a fait le tour de Verlaine et de Kafka Voici un refrain qui sonne comme un bel aveu. Oui, avec...
le 20 déc. 2020
5 j'aime
pour les plus vieux, mirlaine, c'était une pub "c'est doux ! c'est neuf ?" Cette album est effectivement doux, mais aussi sucrée,neuf ? pas trop. On reste sur le même tempo, un coté classe, mais il...
Par
le 8 sept. 2020
2 j'aime
Je dois dire que malgré toute la sympathie que je peux avoir pour Julien Doré et son ton décalé, et les tubes La Fièvre et Nous de cet album (sympathiques mais pas non plus renversant), je reste...
Par
le 17 août 2021
1 j'aime
2
Du même critique
Indispensable pour son sujet et ce qu'il témoigne des violences sexuelles faites aux mineurs. Mais, comme objet de cinéma, hormis les inventions exportées du théâtre, il n'invente rien. Et...
le 20 nov. 2018
8 j'aime
8
De la Nouvelle Vague d'où L.Garrel tire sa filiation, il n'en reste ici que peau de chagrin. Exit la légèreté, le dilettantisme, la gracilité de Truffaut ou Rohmer. Bonjour le sérieux de pape d'un...
le 7 janv. 2019
8 j'aime
La puissance de cet EP, derrière la modestie de son contenu, tient à la sagace composition de ses beats, entre rap, hip hop et dubstep franc, et à la plume aiguisée et percutante de son auteur,...
le 25 mai 2017
8 j'aime