Samedi soir a Beyrouth. 2008. Le son est énorme, très travaillé, avec sa basse monstrueuse et profonde, qu’on peut écouter très fort ou très bas tout en gardant une grande lisibilité. «Rafales » hypnotique chanson de voyage ouvre le disque. On poursuit avec « solitaire » un reggae rapide désenchanté sur ce que l’homme est capable de faire a d’autres hommes, « maria bonita » la classique chanson nanardesque sur une femme exotique, de Marseille ce coup-ci, « samedi soir a Beyrouth » nous fait ressentir l’ambiance de la ville. Encore un disque d’une grande densité.
Créée
le 14 mars 2019
Critique lue 136 fois
Du même critique
“Someday i want to smack your face” ! Tel sont les premières paroles de la première chanson du premier disque des stranglers. Au moins on est prévenus, et la suite seras a la hauteur de ce...
le 15 mars 2019
5 j'aime
1
Body & Soul (1984, A&M). Il est encore ailleurs avec cette pochette inspirée du label blue note et de fait le ton est au jazz. Cet album a créé la polémique du fait des propos très...
le 13 mars 2019
5 j'aime
3
Jamais ! Jamais je ne pardonnerais a la France d’avoir laissé passer Dogs. Plus de 30 ans après je me demande encore comment çela a pu arriver…Car ces chiens étaient pur race, des bêtes de courses,...
le 15 mars 2019
4 j'aime
