Je ne t'ait jamait autant aimé depuis que tu as mis le feu à ma culotte

[...] Bref, même si j'ai émis quelques réserves plus tôt dans cette chronique, cela n'enlève en rien que ILYAD s'avère impressionnant. Difficile de ne pas ressortir médusé à l'écoute de cet album. Qu'importe que ce soit en bien ou en mal au final, cette galette revêtit cette aura qu'elle ne peut pas laisser de marbre. On aimera ou on détestera ce Behemoth point barre. Et mon petit doigt me dit que si ça reste encore assez « gentillet » avec ce dernier bébé, ce sera encore pire sur le prochain. Parce qu'à l'image d'un artificier de renommée qui ne peut plus se contenter de pétards de papillotes de Noël, faire machine arrière en revenant à des choses sobres après avoir enclenché un tel virage semble totalement impossible.


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Margoth
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le 3 janv. 2019

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