Pas de headbang en vue, pas de hit à siffler sous la douche pendant le décrassage d'orteils, mais plein de bonnes choses quand même sur cet OVNI de l'écurie Relapse. « Centralia » s'écoute comme on visite un musé d'art moderne non figuratif: pour peu que vous ne soyez pas dans la configuration psychologique adéquate ou que le concept vous glisse sur les atomes non crochus, vous en ressortirez agacés. Mais si par bonheur les pilules orange et violettes prises une heure avant la visite et votre libido du moment font de vous un terrain favorable à la perception des ces bizarreries, vous prendrez alors un gros panard.