Critiques de Trilaw - SensCritique

« Si rien ne dure, pourquoi devrais-je m’embêter à faire des films ? »

Un réalisateur émérite a marre d’être considéré seulement pour ses comédies et il désire passer à des films davantage sérieux (autobiographique ?). Il profite d’une rétrospective pour faire le bilan de sa vie. Les dialogues sont, une fois de plus, prodigieux tant l’écriture est inaccoutumée et extraordinaire notamment sur les turpitudes sentimentales, la mort ou encore le sens de... Lire la critique de Stardust Memories

« I´m a fucking junkie »

Allison provoque un accident de voiture dont elle est la seule à s’en sortir . Elle commence à se lier avec le père et la fille de l’une de ses victimes et elle devient dépendante de ses antidouleurs.Après le récent Renfield, ce film glorifie pareillement les vertus thérapeutiques des groupes de parole. Des thématiques intéressantes sont splendidement abordées comme... Lire l'avis à propos de A Good Person

« On se mate tous les Freddy. Même les pourris »

Les retrouvailles d’un frère et d’une sœur sont gâchées par l’intervention de démons qui prennent possession de leur maman.C’est tout de même une trémulation vainement creuse et, qui plus est, un produit formaté et purement mercantile profitant du titre d’une franchise féconde qui ameutera les nostalgiques. Les amateurs du trash du premier reboot seront également désappointés. Le... Lire l'avis à propos de Evil Dead Rise

« C’est un teckel. Un substitut phallique en somme »

Un homme d’âge mûr flirte avec différentes femmes dont une de seulement dix-sept ans.Les films de Woody Allen nous sont devenus essentiels par sa sagacité et son ton sardonique tant les dialogues sont ciselés et subtils. Sur le plan technique, le film est irréprochable avec ses plans fixes de Manhattan et sa magnifique musique de George... Lire l'avis à propos de Manhattan

« Si vous l’on demandait de désigner le personnage le plus remarquable de la littérature anglaise »

Au sein d’une bibliothèque, se tiennent deux romans de la littérature britannique qui nous sont narrés :1. La mare aux grenouilles : Crapaud, engoué par les voitures, troque un manoir cossu contre une automobile barbotée et, subséquemment, il se retrouve au gnouf.2. La légende de la Vallée Endormie : Ichabod Crane est le nouveau pédagogue de Sleepy Hollow où il... Lire la critique de Le Crapaud et le Maître d'école

« Polochon, fais pas ton poisson d’aquarium »

Ariel, une sirène, est fascinée par le monde des hommes et plus précisément par un prince. Elle troque alors sa voix contre des jambes pour le conquérir.Cela a le mérite d’être soulevé, je n’ai pas été dérangé par le noircissement de peau de la protagoniste tant son éclat et sa vénusté ont pallié l’éventuel problème. En plus, l’interprète est chanteuse, ce qui sied parfaitement à une... Lire l'avis à propos de La Petite Sirène

« Ta petite sœur se fait violer en enfer »

Dans une cabane reculée, de jeunes gens trouvent un livre et en lisant un passage, ils appellent irrévocablement les démons. Le métrage bafoue l’original en délaissant ce qui faisait sa quintessence, c’est-à-dire des effets sanguinolents absurdes et un humour parfois noir mais en toutes circonstances décapant. Néanmoins, les amateurs de trash seront comblés tant le gore est vu à son... Lire l'avis à propos de Evil Dead

« Je hais les gosses »

Suite aux événements du premier film, la mère d’Andy est internée dans un hôpital psychiatrique. Le petit garçon est alors placé dans une famille d’accueil mais Chucky parvient à le retrouver.Le suspense du premier volet est quelque peu délaissé au profit de l’efficacité, c’est-à-dire davantage d’action et de sanglant. On aperçoit lors de la scène où la poupée maléfique insulte une... Lire l'avis à propos de Chucky : La Poupée de sang

« Tirer d’abord, réfléchir : jamais »

Saison 1Ash invoque à nouveau les démons par l’intermédiaire du Necronomicon.Les effets sanglants cartoonesques donnent aux films une aura rétro, aujourd’hui, ils procurent l’impression d’une série fauchée tout sauf désagréable. C’est le règne du gore et du mauvais goût, ici, pas de grandes diatribes explicatives sur le pourquoi du comment. Le trio de... Lire la critique de Ash vs Evil Dead

« Tu n’existes qu’à travers le regard des autres »

Un homme impose une rupture temporaire à sa femme mais qui semble se perpétuer lors d’un voyage en Grèce où il tombe inévitablement amoureux.Woody Allen pastiche son idole Ingmar Bergman avec ce drame hautement psychologique. Ce que réalisait avec brio l’un, l’autre n’arrive qu’à faire un film déprimant. Dénués de la moindre fantaisie, les dialogues... Lire l'avis à propos de Intérieurs