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nippon-américain
Ce film est un exemple caricatural de la production japonaise fabriquée selon les normes de la mécanique hollywoodienne pendant l’occupation américaine.
Par
il y a 11 heures
Je suis un cinéphage. J'ai visionné 7173 films entre avril 2014 et octobre 2022. Comme je suis exigeant, 23% de ce total (1616 films) valent la peine d'être vus et revus. J'en parlerai... petit à petit. Lire : https://cinemondeenquestion.wordpress.com/category/cinema-en-question/ AVIS à BullyMaguire, chibron, Exca1 et à tous les autres : Je ne réponds pas aux critiques "ad personam". Lire : COLLECTIF, La pluralité interprétative, 2010 https://books.openedition.org/cdf/1421
1937
Total
1844
Films
87
Séries
6
Livres
NARUSE Mikio s’est plié à l’injonction d’un divertissement qui se laisse voir. La meilleure scène ,illustrant le sujet de cette comédie, est celle de femmes qui cancanent [37’47].
Le 16 mars 2024
La première scène évoque la guerre et se termine pas un hommage à l’empereur. Le directeur veut “montrer comment les soldats japonais luttent” car le théâtre est un outil... de propagande [05’28].
Le 15 mars 2024
La musique extradiégétique de supermarché du très long générique n’annonce rien de bon. MIZOGUCHI Kenji fait la propagande pour la guerre sous le travestissement d’un film d’époque sur les samouraïs.
Le 13 mars 2024
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Défendre la cause des femmes pour dissimuler la collaboration
MIZOGUCHI Kenji se dédouane à nouveau de son passé de collaborateur du militarisme japonais en défendant les femmes. Il évoque sa sœur Suzu, vendu comme geisha, à travers le personnage de Chiyo,...
Par
le 18 avr. 2024
6
Critique de Récit d'un propriétaire par Serge LEFORT
Après la guerre et ses délires nationaliste, OZU Yasujirō, qui fut moins collaborateur du militarisme japonais que les autres “grands” réalisateurs, revient à son thème favori : la famille...
Par
le 17 avr. 2024
