
Quel faux-cul ce predator avec sa couverture invisible et son viseur laser de précision. Même pas foutu de flinguer une nénette de 50 kg à poils... Idem pour les grosses tanches dégénérées d'"holly"wood qui comme dans "american gods", tentent de coller le génocide Amérindien sur le dos des Frenchies du 18e. "Bah ouai tant qu'à faire !!!... Lire la critique de Prey