Les meilleures histoires de Picsou selon Sonicvic

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L'antépénultième histoire de Don Rosa avant sa retraite, sans aucun doute son point culminant d'un point de vue narratif. Clôturant deux de ses fils rouges (Les Templiers et La Jeunesse), il organise les retrouvailles tant attendues entre Picsou et sa soeur, où chacun devra ouvrir son coeur pour pouvoir continuer à vivre. A la fois pleine de mystères et émouvante, cette histoire est un incontournable pour tout bédéphile qui se respecte.

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Comment ne pouvais-je pas mentionner le chef-d'oeuvre de Don Rosa ? Puisant toutes les références possibles laissées par Barks, ce fan passionné parvient à recréer la vie du canard le plus riche du monde. De ses débuts sur les trottoirs de Glasgow à la domination de l'économie mondiale, en passant par la perte de ses parents, Don Rosa compose une des histoires les plus complètes (et graphiquement sans-faute !) que l'Humanité ait connue, et je pèse mes mots !
Mes épisodes préférés sont les 8, 8-bis et 11

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Dans la famille "grosse déprime", je demande cette histoire. On découvre un quartier de Donaldville peuplé uniquement d'enfants défavorisés, Daisy demande de l'aide partout pour obtenir 100 malheureux dollars et Picsou perd toute sa fortune en un instant. Et pourtant, quelque chose de positif émane tout de même de cette BD qui se finira en rires au pied du sapin.
A noter la toute première case absolument déprimante mais où Barks atteint un niveau de professionnalisme et de réalisme qu'il n'égalera plus jamais.

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Un rêve de gosse : Picsou affronte ses plus grands adversaires en même temps, dans une machination qui le conduira dans les sous-sols de la ville. Ils sont tous là : Gripsou, Miss Tick, Gracié et ses Rapetous. Tous, sauf...

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... Don Rosa a créé peu de personnages emblématiques, préférant reprendre ceux créés par Barks. Si on note la création de Mollay, gardien du Temple, sa plus grande contribution au casting de Donaldville est bel et bien le Chevalier Noir. Gentleman cambrioleur plus connu sous le nom de Lucien Arpène (*clin d'oeil, clin d'oeil*), celui-ci possède une arme mortelle et inarrêtable, que Picsou ne pourra vaincre qu'avec son intellect.
C'est presque un slasher-movie, mais avec l'or de Picsou dans le rôle de la jeune fille poursuivie.

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Sous un prétexte bidon (sauver les cornichons de Donaldville), Donald et ses neveux se retrouvent bloqués dans une vallée remplie de dinosaures tandis qu'un industriel résolument anti-cornichons veut leur mort. Qui a dit que Jurassic Park avait tout inventé ?

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La pièce au coeur de cette histoire n'est pas le sou fétiche, mais peut-être la deuxième pièce à laquelle Picsou tient le plus.
Celle-ci traverse la ville à travers des gags très drôles, mis en scène à la première personne (à la place de la pièce donc !) et qui se concluent sur une dernière planche émouvante.

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Picsou, déprimé, abandonne sa fortune et part s'isoler dans une vallée oubliée. Une histoire où on découvre le pouvoir pervers de la richesse, représentée ici par des capsules de bouteille qui finiront par déclencher un désastre écologique.
Barks prônait la décroissance avant que ça ne soit cool !

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Un des premiers affrontements entre Donald et son cousin Gontran. La chance de ce dernier est toujours aussi insolente, mais pour une fois Donald s'en tire plutôt bien, grâce au bon coeur de ses neveux.

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Une récréation d'une vingtaine de pages où les Rapetou, isolés, tentent de prendre le coffre d'assaut. Evidemment, 7 Rapetou signifient 7 échecs, tous mis en scène de manières différentes !
Sans doute l'histoire la plus drôle de ce classement.

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Une dystopie où un Donald jeune retraité découvre que, malgré son insignifiance, la ville tomberait en ruines sans lui. On en ressort avec encore plus de sympathie pour le canard malchanceux.
A noter l'existence une histoire similaire du chilien Vicar, aussi bien faite et choisissant une autre approche du problème, mais dont le nom m'échappe.

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Une expédition en Inde, dans un temple bourré de pièges. C'est très dynamique, la personnalité de Picsou est bien caractérisée et les pièges sont à chaque fois une surprise originale.

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Une histoire mineure dans la carrière de Barks, mais qui m'a laissé sur le fion quand je l'ai découverte (sur le tard). Donald devient fou et allume des incendies dans toute la ville. Il y a une case en particulier où notre canard s'enfuit d'une usine en flammes avec un bidon d'essence à la main et sous les yeux de ses neveux, c'est traumatisant as fuck. Et pourtant, l'histoire est plutôt drôle et le graphisme encore un peu hésitant de Barks aide à adoucir la violence de l'action.

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Une rétrospective de plusieurs épisodes de La Jeunesse, avec les Rapetou à l'intérieur. Drôle et rythmée, l'aventure se conclue sur une fin alternative à l'épisode 8-ter... A laquelle le lecteur ne sera pas convié !

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La préquelle du Chevalier Noir, où Picsou tente de réparer l'énorme erreur qu'il a lui-même causée (pour une fois que c'est pas Donald qui gaffe !). Une histoire très bien rythmée où l'on découvre une invention dévastatrice, avec un caméo de Jules Verne himself.

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(qu'est-ce que c'est que cette couverture d'illustration ?)
La première histoire avec un focus sur Picsou. On y apprend des éléments de sa vie et on le voit sincèrement malheureux lorsqu'il perd toute sa fortune, les Rapetou apportent la touche d'humour pour équilibrer le récit.

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J'inclus symboliquement toutes les histoires de PowerDuck (et quelques-unes de Fantomiald) ici. La vision d'un Donaldville futuriste qui compte sur un Donald boosté à l'adrénaline mais toujours drôle et hésitant est marquante, et étrangement elle ne paraît même pas hors-sujet dans la série du canard.